Les femmes de Tortiya, dans le département de Niakara (Nord, région du Hambol), sollicitent leur intégration au Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) initié par la Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara.
La présidente des femmes de Tortiya, Coulibaly Nabintou, a porté, vendredi, l’appel de ses congénères à l’occasion d’une réunion du bureau de leur association qui revendique quelque 1.500 membres.
Elle a notamment relevé le fait que "les mères et les filles (de la localité) n’ont été ni recensées ni formées à l’effet de bénéficier du FAFCI".
Mme Coulibaly a plaidé, par conséquent, en faveur de ses sœurs des 16 villages de la sous-préfecture des séances d’information et de formation à l’effet de leur permettre également de solliciter des financements du FAFCI, afin de ne pas être les "oubliées" de la lutte contre la pauvreté des femmes entreprise par l’épouse du Chef de l’Etat.
Le FAFCI, doté d’un montant d’un milliard de FCFA, est une initiative de Mme Dominique Ouattara, rappelle-t-on.
Lancé en décembre 2012, le projet se veut "une opportunité pour les femmes ivoiriennes de sortir de la pauvreté" en se finançant des activités génératrices de revenus, selon la Première dame.
jbm/kg/kp
La présidente des femmes de Tortiya, Coulibaly Nabintou, a porté, vendredi, l’appel de ses congénères à l’occasion d’une réunion du bureau de leur association qui revendique quelque 1.500 membres.
Elle a notamment relevé le fait que "les mères et les filles (de la localité) n’ont été ni recensées ni formées à l’effet de bénéficier du FAFCI".
Mme Coulibaly a plaidé, par conséquent, en faveur de ses sœurs des 16 villages de la sous-préfecture des séances d’information et de formation à l’effet de leur permettre également de solliciter des financements du FAFCI, afin de ne pas être les "oubliées" de la lutte contre la pauvreté des femmes entreprise par l’épouse du Chef de l’Etat.
Le FAFCI, doté d’un montant d’un milliard de FCFA, est une initiative de Mme Dominique Ouattara, rappelle-t-on.
Lancé en décembre 2012, le projet se veut "une opportunité pour les femmes ivoiriennes de sortir de la pauvreté" en se finançant des activités génératrices de revenus, selon la Première dame.
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