L’état d’exécution des dépenses de la mairie de Bongouanou au deuxième trimestre de l’année s’établit à un taux de 27,9% équivalant à 68.995.002 de francs CFA, a révélé le maire, Ehui Tano Félix, vendredi au cours de la 2ème session ordinaire du conseil municipal.
Le premier magistrat de la commune de Bongouanou s’expliquait face à des conseillers qui l’interrogeaient sur le faible taux d’exécution du budget, au deuxième trimestre de 2014.
Cet état d’exécution des dépenses ne prend en compte que les dépenses de fonctionnement réalisées à 40,3% sur les 171.391.000 FCFA inscrits au budget prévisionnel, a indiqué le maire.
Pour Ehui Tano Félix, trois raisons expliquent ce niveau d’exécution du budget. La première tient de la faiblesse du taux de recouvrement des recettes. En effet, seulement 82.818.817 FCFA soit 33,50% des recettes ont été recouvrées pour un budget qui s’équilibre en recettes et en dépenses à 247 228 000 FCFA.
La deuxième raison provient du non reversement encore de la subvention de l’État pour le compte du deuxième trimestre. La troisième raison réside dans le fait qu’un certain nombre de travaux sont en attente de paiement car les entrepreneurs n’ont pas encore déposé leurs factures.
Le maire s’est donc voulu rassurant quant à l’utilisation effective des fonds de la mairie pour la réalisation des différents projets adoptés.
(AIP)
hk/cmas
Le premier magistrat de la commune de Bongouanou s’expliquait face à des conseillers qui l’interrogeaient sur le faible taux d’exécution du budget, au deuxième trimestre de 2014.
Cet état d’exécution des dépenses ne prend en compte que les dépenses de fonctionnement réalisées à 40,3% sur les 171.391.000 FCFA inscrits au budget prévisionnel, a indiqué le maire.
Pour Ehui Tano Félix, trois raisons expliquent ce niveau d’exécution du budget. La première tient de la faiblesse du taux de recouvrement des recettes. En effet, seulement 82.818.817 FCFA soit 33,50% des recettes ont été recouvrées pour un budget qui s’équilibre en recettes et en dépenses à 247 228 000 FCFA.
La deuxième raison provient du non reversement encore de la subvention de l’État pour le compte du deuxième trimestre. La troisième raison réside dans le fait qu’un certain nombre de travaux sont en attente de paiement car les entrepreneurs n’ont pas encore déposé leurs factures.
Le maire s’est donc voulu rassurant quant à l’utilisation effective des fonds de la mairie pour la réalisation des différents projets adoptés.
(AIP)
hk/cmas