Gagnoa – Une quarantaine de fonctionnaires de police des régions du Gôh (Gagnoa) et du Lôh-Djiboua (Divo) se forment sur les nouvelles lois de la cybercriminalité, en vue d’être outillés et mieux armés pour traquer les cyber-escrocs.
Initiée par la direction générale de la police nationale (DGPN), cette formation est animée par une équipe de la direction de l’Informatique et des Traces technologiques (DITT) à la salle de conférence de la préfecture de police de Gagnoa.
Selon le Lieutenant Cyrille Venance Dézaï Cane, l’un des formateurs, ce séminaire vise à mettre au même niveau d’information les policiers de Gagnoa et Divo, et les outiller à la maîtrise des nouvelles infractions liées aux technologies de l’information et de la communication, notamment le chantage à la vidéo et les plaintes relatives aux transactions financières dues aux transferts d’argent opérés par les maisons de téléphonie mobile.
"Nous sommes là aussi et surtout pour montrer aux participants le mode opératoire des brouteurs que l’on retrouve pratiquement dans toutes les grandes villes du pays, et comment faire pour gérer une affaire qui a un volet cybercriminel. Il s’agit également de permettre aux policiers formés de s’approprier les technologies et connaissances de la DITT, afin qu’ils soient prêts lorsque ces genres de situation se présentent à eux’’, a dit Lt Dezaï.
Les participants ont salué la tenue de ce séminaire, affirmant qu'au terme de la formation, ils seront prêts et à même de régler efficacement les cas de cybercriminalité qui vont se poser à eux.
(AIP)
ja/ask
Initiée par la direction générale de la police nationale (DGPN), cette formation est animée par une équipe de la direction de l’Informatique et des Traces technologiques (DITT) à la salle de conférence de la préfecture de police de Gagnoa.
Selon le Lieutenant Cyrille Venance Dézaï Cane, l’un des formateurs, ce séminaire vise à mettre au même niveau d’information les policiers de Gagnoa et Divo, et les outiller à la maîtrise des nouvelles infractions liées aux technologies de l’information et de la communication, notamment le chantage à la vidéo et les plaintes relatives aux transactions financières dues aux transferts d’argent opérés par les maisons de téléphonie mobile.
"Nous sommes là aussi et surtout pour montrer aux participants le mode opératoire des brouteurs que l’on retrouve pratiquement dans toutes les grandes villes du pays, et comment faire pour gérer une affaire qui a un volet cybercriminel. Il s’agit également de permettre aux policiers formés de s’approprier les technologies et connaissances de la DITT, afin qu’ils soient prêts lorsque ces genres de situation se présentent à eux’’, a dit Lt Dezaï.
Les participants ont salué la tenue de ce séminaire, affirmant qu'au terme de la formation, ils seront prêts et à même de régler efficacement les cas de cybercriminalité qui vont se poser à eux.
(AIP)
ja/ask