Blaise Compaoré, le désormais ex-dirigeant du Burkina Faso, a quitté le pouvoir, poussé à la porte par son peuple, aidé par l’armée. Avant la démission du Président du Faso, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) avait indiqué qu’elle ne reconnaîtrait aucune accession au pouvoir par des « voies non constitutionnelles ». Une sortie qui pose problème. Pourquoi donc ?
Dans un communiqué transmis à l’Agence de presse sénégalaise, la Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a « exhorté toutes les forces vives de la nation (burkinabè), notamment l’ensemble des acteurs de la classe politique, à privilégier le dialogue dans le but de dégager un consensus politique en vue de parvenir à des élections... suite de l'article sur Afrik.com
Dans un communiqué transmis à l’Agence de presse sénégalaise, la Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a « exhorté toutes les forces vives de la nation (burkinabè), notamment l’ensemble des acteurs de la classe politique, à privilégier le dialogue dans le but de dégager un consensus politique en vue de parvenir à des élections... suite de l'article sur Afrik.com