Le Président de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO a été informé des résultats de la mission entreprise conjointement à Ouagadougou par les Nations Unies, l’Union Africaine et la CEDEAO, du 31 octobre au 2 novembre 2014. Il en a approuvé les recommandations, tout en réaffirmant le soutien de la CEDEAO en faveur du rétablissement de l’ordre constitutionnel dans le pays.
A cet égard, le Président en exercice de la Conférence a décidé de dépêcher de nouveau la Mission à Ouagadougou en vue de la poursuite des consultations. A l’issue de ces pourparlers, il envisage de se rendre en personne à Ouagadougou le 5 novembre 2014, accompagné de deux autres Chefs d’Etat, pour y rencontrer les différentes parties prenantes.
Suite à sa déclaration du 30 octobre 2014, le Président en exercice de la CEDEAO lance un appel à l’ensemble des parties concernées, ainsi qu’à l’armée, pour la recherche d’une solution consensuelle, conforme aux dispositions de la Constitution du Burkina Faso.
Le Président de la Conférence réaffirme par ailleurs la disponibilité de la CEDEAO à coopérer avec le Burkina Faso et d’autres bonnes volontés, afin de rétablir l’ordre constitutionnel normal, d’accompagner les acteurs concernés dans la recherche de solutions durables à la crise et d’œuvrer en vue de l’organisation d’élection libres et crédibles.
A cet égard, le Président en exercice de la Conférence a décidé de dépêcher de nouveau la Mission à Ouagadougou en vue de la poursuite des consultations. A l’issue de ces pourparlers, il envisage de se rendre en personne à Ouagadougou le 5 novembre 2014, accompagné de deux autres Chefs d’Etat, pour y rencontrer les différentes parties prenantes.
Suite à sa déclaration du 30 octobre 2014, le Président en exercice de la CEDEAO lance un appel à l’ensemble des parties concernées, ainsi qu’à l’armée, pour la recherche d’une solution consensuelle, conforme aux dispositions de la Constitution du Burkina Faso.
Le Président de la Conférence réaffirme par ailleurs la disponibilité de la CEDEAO à coopérer avec le Burkina Faso et d’autres bonnes volontés, afin de rétablir l’ordre constitutionnel normal, d’accompagner les acteurs concernés dans la recherche de solutions durables à la crise et d’œuvrer en vue de l’organisation d’élection libres et crédibles.