Abidjan – La présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), Dr Nkosazana Dlamini-Zuma, a nommé le togolais Edem Kodjo comme envoyé spécial de l’UA pour le Burkina Faso.
La nomination de M. Kodjo s’inscrit dans le cadre des efforts de l’organisation panafricaine visant à faciliter le règlement de la crise que connaît le Burkina Faso, notamment la mise en place rapide d’une transition civile, démocratique et consensuelle devant déboucher sur la tenue, le plus tôt possible, d’élections libres régulières et transparentes, explique un communiqué de l’UA diffusé par le site APO mardi.
Selon ce communiqué, M. Kodjo coordonnera sur le terrain les efforts conjoints de l’UA, de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), des Nations Unies et d’autres acteurs internationaux concernés.
M. Edem Kodjo, rappelle-t-on, a occupé de hautes fonctions au Togo, en ayant notamment été ministre des Finances et ministre des Affaires étrangères de 1976 à 1978, ainsi que Premier ministre de 1994 à 1996, mais également il a occupé le poste de secrétaire général de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), de 1978 à 1983.
Lundi, l’Union africaine a donné aux autorités militaires du Burkina Faso qui ont pris le pouvoir, suite à la démission de M. Blaise Compaoré, un ultimatum de 15 jours pour restituer le pouvoir aux civils, faute de quoi elle imposera des sanctions.
kp
La nomination de M. Kodjo s’inscrit dans le cadre des efforts de l’organisation panafricaine visant à faciliter le règlement de la crise que connaît le Burkina Faso, notamment la mise en place rapide d’une transition civile, démocratique et consensuelle devant déboucher sur la tenue, le plus tôt possible, d’élections libres régulières et transparentes, explique un communiqué de l’UA diffusé par le site APO mardi.
Selon ce communiqué, M. Kodjo coordonnera sur le terrain les efforts conjoints de l’UA, de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), des Nations Unies et d’autres acteurs internationaux concernés.
M. Edem Kodjo, rappelle-t-on, a occupé de hautes fonctions au Togo, en ayant notamment été ministre des Finances et ministre des Affaires étrangères de 1976 à 1978, ainsi que Premier ministre de 1994 à 1996, mais également il a occupé le poste de secrétaire général de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), de 1978 à 1983.
Lundi, l’Union africaine a donné aux autorités militaires du Burkina Faso qui ont pris le pouvoir, suite à la démission de M. Blaise Compaoré, un ultimatum de 15 jours pour restituer le pouvoir aux civils, faute de quoi elle imposera des sanctions.
kp