Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a quitté Accra (Ghana) pour Uyo, au Nigéria, ce vendredi 07 novembre 2014 à 11h15mn GMT, après avoir pris part au Sommet extraordinaire de la CEDEAO, consacré à la maladie à virus Ebola et à la situation au Burkina Faso.
Faisant le point de ce Sommet avant son départ, le Chef de l’Etat a indiqué qu’il aura été celui de la convergence des points de vue et surtout de la mobilisation de la sous-région dans la lutte contre l’épidémie d’Ebola.
Le Président Alassane OUATTARA a ajouté que les Chefs d’Etat et de Gouvernement se sont félicités des progrès en cours dans les pays affectés mais aussi des dispositions prises dans les autres pays de la sous-région.
Selon lui, la Conférence a demandé à la Communauté internationale de continuer de soutenir les efforts des pays de l’Afrique de l’ouest et surtout d’arrêter la stigmatisation de notre sous-région.
Par conséquent, a-t-il indiqué, ce Sommet était utile et même nécessaire et nous repartons réconfortés que les mesures prises en Côte d’Ivoire aient permis d’empêcher l’arrivée de ce virus dans notre pays.
Sur la situation au Burkina Faso, le Chef de l’Etat a relevé l’importance du rassemblement du peuple burkinabé pour sortir de cette épreuve.
Il a ensuite indiqué que la Conférence a confirmé les propositions faites par les Présidents John Dramani Mahama, Goodluck Ebele Jonathan et Macky Sall, au nom de la CEDEAO, pour une sortie de crise dans ce pays, basée sur le retour à l’ordre constitutionnel et la désignation d’une Personnalité civile pour conduire la Transition en vue d’aboutir à des élections démocratiques en 2015.
Le Président de la République a souligné que le Sommet a insisté sur la nécessité d’assurer la sécurité de tous les Burkinabè sans distinction et sans discrimination et cela, a-t-il poursuivi, relève de la responsabilité de l’Armée, de la Police et de la Gendarmerie.
Pour lui, la paix doit être rétablie immédiatement et durablement au Burkina Faso, ‘’un pays organisé’’, afin que tous les Acteurs contribuent à nouveau à la vie politique de cette Nation.
Pour terminer, le Chef de l’Etat a indiqué que les évènements au Burkina Faso sont douloureux pour la Côte d’Ivoire compte-tenu des liens séculaires que les deux pays ont; avant d’encourager les ‘’frères’’ et les ‘’soeurs’’ de cette Nation à travailler pour la réussite de la Transition et pour un retour rapide de la paix et de la sécurité dans leur pays.
Faisant le point de ce Sommet avant son départ, le Chef de l’Etat a indiqué qu’il aura été celui de la convergence des points de vue et surtout de la mobilisation de la sous-région dans la lutte contre l’épidémie d’Ebola.
Le Président Alassane OUATTARA a ajouté que les Chefs d’Etat et de Gouvernement se sont félicités des progrès en cours dans les pays affectés mais aussi des dispositions prises dans les autres pays de la sous-région.
Selon lui, la Conférence a demandé à la Communauté internationale de continuer de soutenir les efforts des pays de l’Afrique de l’ouest et surtout d’arrêter la stigmatisation de notre sous-région.
Par conséquent, a-t-il indiqué, ce Sommet était utile et même nécessaire et nous repartons réconfortés que les mesures prises en Côte d’Ivoire aient permis d’empêcher l’arrivée de ce virus dans notre pays.
Sur la situation au Burkina Faso, le Chef de l’Etat a relevé l’importance du rassemblement du peuple burkinabé pour sortir de cette épreuve.
Il a ensuite indiqué que la Conférence a confirmé les propositions faites par les Présidents John Dramani Mahama, Goodluck Ebele Jonathan et Macky Sall, au nom de la CEDEAO, pour une sortie de crise dans ce pays, basée sur le retour à l’ordre constitutionnel et la désignation d’une Personnalité civile pour conduire la Transition en vue d’aboutir à des élections démocratiques en 2015.
Le Président de la République a souligné que le Sommet a insisté sur la nécessité d’assurer la sécurité de tous les Burkinabè sans distinction et sans discrimination et cela, a-t-il poursuivi, relève de la responsabilité de l’Armée, de la Police et de la Gendarmerie.
Pour lui, la paix doit être rétablie immédiatement et durablement au Burkina Faso, ‘’un pays organisé’’, afin que tous les Acteurs contribuent à nouveau à la vie politique de cette Nation.
Pour terminer, le Chef de l’Etat a indiqué que les évènements au Burkina Faso sont douloureux pour la Côte d’Ivoire compte-tenu des liens séculaires que les deux pays ont; avant d’encourager les ‘’frères’’ et les ‘’soeurs’’ de cette Nation à travailler pour la réussite de la Transition et pour un retour rapide de la paix et de la sécurité dans leur pays.