Le président de la République du Togo, Faure Essozimna Gnassingbe, a été nommé par ses homologues chefs d'État de la CEDEAO pour superviser les opérations de réponse à l'ébola, tandis que le président sénégalais Macky Sall doit diriger la mission spéciale sur le processus de transition impératif au Burkina Faso.
Ces informations ont été révélées dans deux communiqués sur l' ébola et le Burkina Faso publiés à l'issue de la session extraordinaire de l'Autorité des chefs d'État et de gouvernement de la CEDEAO jeudi à Accra.
La nomination de M. Gnassingbe fait suite à l'adoption par ce sommet d'un Plan de réponse opérationnel intégré à l'échelle régionale (RIOPR) face au virus de l'ébola, sur proposition d'une commission technique sur la santé.
Cet événement réunissant huit présidents des pays membres du bloc, un vice-président, trois ministres d'État, deux diplomates et un conseiller présidentiel, s'est terminée tard dans la nuit de cette première journée.
"Ce sommet est vivement préoccupé par l'impact du virus ébola sur les économies des pays directement affectés, sur la sécurité humaine ainsi que sur la situation sociale et humanitaire dans la région", indique le communiqué lu par le président de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo.
Les dirigeants ont exprimé leur profonde compassion suite aux vies perdues et à la douleur que connaissent les victimes de cette maladie, exprimant également leur préoccupation à l'égard de la menace que l'ébola représente pour l'intégration régionale, la paix et la sécurité.
Les dirigeants de la CEDEAO ont cependant recommandé que des actions appropriées soient adoptées par le Nigeria et le Sénégal pour contenir cette épidémie, appelant les autres pays membres affectés à poursuivre sans relâche leurs efforts pour contenir la maladie.
Le plan RIOPR adopté par la direction de la CEDEAO contient des domaines d'intervention bien définis qualifiés par le sommet de particulièrement importants.
Les chefs d'État et de gouvernement ont également appelé les pays membres, entre autres, à développer et à mettre en oeuvre d' urgence des directives sur le traitement et la gestion de l'ébola conformes avec les prescriptions de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Ces informations ont été révélées dans deux communiqués sur l' ébola et le Burkina Faso publiés à l'issue de la session extraordinaire de l'Autorité des chefs d'État et de gouvernement de la CEDEAO jeudi à Accra.
La nomination de M. Gnassingbe fait suite à l'adoption par ce sommet d'un Plan de réponse opérationnel intégré à l'échelle régionale (RIOPR) face au virus de l'ébola, sur proposition d'une commission technique sur la santé.
Cet événement réunissant huit présidents des pays membres du bloc, un vice-président, trois ministres d'État, deux diplomates et un conseiller présidentiel, s'est terminée tard dans la nuit de cette première journée.
"Ce sommet est vivement préoccupé par l'impact du virus ébola sur les économies des pays directement affectés, sur la sécurité humaine ainsi que sur la situation sociale et humanitaire dans la région", indique le communiqué lu par le président de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo.
Les dirigeants ont exprimé leur profonde compassion suite aux vies perdues et à la douleur que connaissent les victimes de cette maladie, exprimant également leur préoccupation à l'égard de la menace que l'ébola représente pour l'intégration régionale, la paix et la sécurité.
Les dirigeants de la CEDEAO ont cependant recommandé que des actions appropriées soient adoptées par le Nigeria et le Sénégal pour contenir cette épidémie, appelant les autres pays membres affectés à poursuivre sans relâche leurs efforts pour contenir la maladie.
Le plan RIOPR adopté par la direction de la CEDEAO contient des domaines d'intervention bien définis qualifiés par le sommet de particulièrement importants.
Les chefs d'État et de gouvernement ont également appelé les pays membres, entre autres, à développer et à mettre en oeuvre d' urgence des directives sur le traitement et la gestion de l'ébola conformes avec les prescriptions de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).