Abidjan - Les routes ivoiriennes seront dotées de radars automatiques pour aider à la réduction des accidents de la circulation qui font, en moyenne, 600 morts par an, annonce le ministre des Transports, Gaoussou Touré.
Il s’agira d’"un système intelligent de contrôle du trafic routier depuis une salle". Cela entre dans le cadre de la "politique des réformes de la sécurité routière" du gouvernement ivoirien, a expliqué M. Touré, lors de la célébration officielle de la Journée africaine de la sécurité routière, dimanche à la Place Ficgayo de Yopougon (Abidjan-Ouest).
En présence de représentants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), d’autorités locales et d’acteurs du secteur des transports, le ministre Gaoussou Touré a souligné que ces accidents de la circulation sont causés principalement par l’"imprudence, l’intolérance, l’indiscipline, la méconnaissance, les comportements à risque à l’opposé de l’esprit et de la lettre du code de la route".
"Les radars automatiques vont permettre, à terme, de retirer l’intervention humaine du système de contrôle routier", a renchéri, pour sa part, le directeur général de l’Office de sécurité routière (OSER), Dr Echui Aka Désiré, interrogé par l’AIP en marge de la cérémonie.
Selon l’OMS, près de 1,240 million de personnes meurent chaque année au cours d’accidents de la circulation, soit plus de 3000 décès par jour. Ces accidents sont l’une des trois premières causes de décès chez les personnes âgées de 5 à 44 ans.
En Côte d’Ivoire, plus de 40% des personnes tuées le sont dans des accidents de ce genre. Ce sont plus des piétons dont la moitié est des enfants. Selon l’Association des sociétés d’assurances de Côte d’Ivoire, les compagnies d’assurances locales ont déboursé, en 2013, quelque 10 milliards de FCFA dans le règlement des sinistres liés aux accidents de la circulation.
kkp/tm
Il s’agira d’"un système intelligent de contrôle du trafic routier depuis une salle". Cela entre dans le cadre de la "politique des réformes de la sécurité routière" du gouvernement ivoirien, a expliqué M. Touré, lors de la célébration officielle de la Journée africaine de la sécurité routière, dimanche à la Place Ficgayo de Yopougon (Abidjan-Ouest).
En présence de représentants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), d’autorités locales et d’acteurs du secteur des transports, le ministre Gaoussou Touré a souligné que ces accidents de la circulation sont causés principalement par l’"imprudence, l’intolérance, l’indiscipline, la méconnaissance, les comportements à risque à l’opposé de l’esprit et de la lettre du code de la route".
"Les radars automatiques vont permettre, à terme, de retirer l’intervention humaine du système de contrôle routier", a renchéri, pour sa part, le directeur général de l’Office de sécurité routière (OSER), Dr Echui Aka Désiré, interrogé par l’AIP en marge de la cérémonie.
Selon l’OMS, près de 1,240 million de personnes meurent chaque année au cours d’accidents de la circulation, soit plus de 3000 décès par jour. Ces accidents sont l’une des trois premières causes de décès chez les personnes âgées de 5 à 44 ans.
En Côte d’Ivoire, plus de 40% des personnes tuées le sont dans des accidents de ce genre. Ce sont plus des piétons dont la moitié est des enfants. Selon l’Association des sociétés d’assurances de Côte d’Ivoire, les compagnies d’assurances locales ont déboursé, en 2013, quelque 10 milliards de FCFA dans le règlement des sinistres liés aux accidents de la circulation.
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