Gagnoa – Le dispensaire du centre de santé rural (CSR) de Kosséhoa, sous-préfecture de Guibéroua (centre-ouest, région du Gôh), se trouve dans un état de délabrement très avancé, n’offrant aucun confort de soins à l’infirmier et aux malades qui y sont admis, a constaté sur place l’AIP.
L’aile gauche du bâtiment où se trouve le bureau de l’infirmier de service, Amani Menan Handson, n’existe que de nom. Et pour cause, non seulement une partie de ce côté du bâtiment a pris feu et a brûlé depuis belle lurette, mais une tornade a partiellement endommagé la toiture, sans qu’aucune réparation n’ai été engagée depuis lors.
Dès que survient une petite pluie ou une pluie drue, toute l’eau descend dans les pièces logées de ce côté du bâtiment les rendant quasi inutilisables.
"Le conseil général d’alors est passé voir l’état dans lequel se trouve le dispensaire. Idem pour l’actuel conseil régional.
Des organismes nationaux et internationaux sont venus et ont vu le mauvais état dans lequel est plongé le dispensaire, même les populations locales, notamment les cadres qui passent, voient à quel point leur dispensaire est en ruine, mais hélas, jusque-là rien n’est fait", déplore M. Amani, qui a mis en exergue la salle d’observation des patients devenue inutilisable depuis qu’elle a été ravagée par un incendie en 2008, avant sa prise de fonction au dispensaire de Kosséhoa.
L’infirmier qui s’exprimait sur l’état de délabrement du dispensaire, a également évoqué le manque d’ambulance pour l’évacuation des cas graves surtout des parturientes.
ja/kam
L’aile gauche du bâtiment où se trouve le bureau de l’infirmier de service, Amani Menan Handson, n’existe que de nom. Et pour cause, non seulement une partie de ce côté du bâtiment a pris feu et a brûlé depuis belle lurette, mais une tornade a partiellement endommagé la toiture, sans qu’aucune réparation n’ai été engagée depuis lors.
Dès que survient une petite pluie ou une pluie drue, toute l’eau descend dans les pièces logées de ce côté du bâtiment les rendant quasi inutilisables.
"Le conseil général d’alors est passé voir l’état dans lequel se trouve le dispensaire. Idem pour l’actuel conseil régional.
Des organismes nationaux et internationaux sont venus et ont vu le mauvais état dans lequel est plongé le dispensaire, même les populations locales, notamment les cadres qui passent, voient à quel point leur dispensaire est en ruine, mais hélas, jusque-là rien n’est fait", déplore M. Amani, qui a mis en exergue la salle d’observation des patients devenue inutilisable depuis qu’elle a été ravagée par un incendie en 2008, avant sa prise de fonction au dispensaire de Kosséhoa.
L’infirmier qui s’exprimait sur l’état de délabrement du dispensaire, a également évoqué le manque d’ambulance pour l’évacuation des cas graves surtout des parturientes.
ja/kam