Abidjan - Le gouvernement de Côte d’Ivoire, avec le soutien de la Banque de la banque africaine de développement (BAD) a investi depuis 2008, la bagatelle de 1,5 milliard dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux femmes, a annoncé mardi, la responsable du projet à la Primature, Josiane Moulod Adoubi.
Selon Mme Moulod Adoubi, il s’agit d’un projet d’une durée de six ans, d’un coût global de 15 milliards de francs CFA s’inscrivant dans le cadre de la lutte contre les violences basées sur le genre et les pires formes de travail des enfants soutenues par le cabinet de la Première dame, Dominique Ouattara.
Durée sa période d’exécution, a précisé l’émissaire du gouvernement, le projet s’est beaucoup appesanti dans les ex-zones Centre-Nord-Ouest où les victimes ont pu bénéficier de prises en charge diverses notamment la prise en charge médicale, psycho-sociale, économique et de renforcement de capacités.
La responsable du projet qui prend fin en 2014, s’est réjouie de la réouverture des cours d’assises qui permettent d’infliger de juger et de condamner les coupables des violences sur la gente féminine.
Cette intervention de Mme Moulod s’inscrivait dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes célébrée le 25 novembre de chaque année.
(AIP)
fmo/kam
Selon Mme Moulod Adoubi, il s’agit d’un projet d’une durée de six ans, d’un coût global de 15 milliards de francs CFA s’inscrivant dans le cadre de la lutte contre les violences basées sur le genre et les pires formes de travail des enfants soutenues par le cabinet de la Première dame, Dominique Ouattara.
Durée sa période d’exécution, a précisé l’émissaire du gouvernement, le projet s’est beaucoup appesanti dans les ex-zones Centre-Nord-Ouest où les victimes ont pu bénéficier de prises en charge diverses notamment la prise en charge médicale, psycho-sociale, économique et de renforcement de capacités.
La responsable du projet qui prend fin en 2014, s’est réjouie de la réouverture des cours d’assises qui permettent d’infliger de juger et de condamner les coupables des violences sur la gente féminine.
Cette intervention de Mme Moulod s’inscrivait dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes célébrée le 25 novembre de chaque année.
(AIP)
fmo/kam