Odienné - Le président du Conseil d’administration (PCA) du Fonds d’entretien routier (FER), Diakité Coty Souleymane, a appelé, samedi, les jeunes d'Odienné "à plus de responsabilité et au respect de l’autorité", suite aux émeutes qui ont fait plusieurs dégâts matériels dans la localijé jeudi et vendredi.
«Je ne comprends pas que, après de tels actes de vandalisme, vous ne regrettez même pas vos actes. La Côte d’Ivoire a besoin d’une jeunesse responsable, une jeunesse qui respecte l’autorité de l’Etat, une jeunesse constructive. Je vous invite à tirer les leçons de tous ce qui s’est passé et à faire en sorte que de tels actes ne se reproduisent plus jamais dans notre cité », a déclaré le PCA du FER, également ex-maire d'Odienné, à l'adresse des jeunes, lors d’une réunion à sa résidence privée dans la localité.
A travers la rencontre avec la jeunesse, l’ex-ministre de la communication voulait "comprendre les causes des émeutes et donner des conseils aux jeunes, l’avenir de demain".
La jeunesse, après un exposé des faits qui ont occasionnés les émeutes, entre autres, la mort du jeune Comara Moustapha (21 ans) au violon du commissariat et l’attitude de la préfecture qui, au lieu de les recevoir dès que le jeune est décédé, aurait remis le dialogue au lendemain.
Le ministre s’est dit choqué que la jeunesse n’ait pas exprimé le moindre remord après ces violences, et l’a invité au civisme et à la responsabilité pour le développement d’Odienné.
(AIP)
ss/tm
«Je ne comprends pas que, après de tels actes de vandalisme, vous ne regrettez même pas vos actes. La Côte d’Ivoire a besoin d’une jeunesse responsable, une jeunesse qui respecte l’autorité de l’Etat, une jeunesse constructive. Je vous invite à tirer les leçons de tous ce qui s’est passé et à faire en sorte que de tels actes ne se reproduisent plus jamais dans notre cité », a déclaré le PCA du FER, également ex-maire d'Odienné, à l'adresse des jeunes, lors d’une réunion à sa résidence privée dans la localité.
A travers la rencontre avec la jeunesse, l’ex-ministre de la communication voulait "comprendre les causes des émeutes et donner des conseils aux jeunes, l’avenir de demain".
La jeunesse, après un exposé des faits qui ont occasionnés les émeutes, entre autres, la mort du jeune Comara Moustapha (21 ans) au violon du commissariat et l’attitude de la préfecture qui, au lieu de les recevoir dès que le jeune est décédé, aurait remis le dialogue au lendemain.
Le ministre s’est dit choqué que la jeunesse n’ait pas exprimé le moindre remord après ces violences, et l’a invité au civisme et à la responsabilité pour le développement d’Odienné.
(AIP)
ss/tm