San Pedro – Une cérémonie de lancement officiel de la seconde phase des activités du programme conjoint de réduction de la pauvreté dans la région de San Pedro avec le Comité de pilotage local dudit programme aura lieu mercredi dans les locaux du Port autonome de San Pedro (PASP), indique une circulaire de la préfecture de région dont l’AIP a reçu copie.
A cette cérémonie, le nouveau programme conjoint sera signé et lancé par ses différents partenaires nationaux et internationaux, de même que seront approuvées les prochaines étapes de sa mise en œuvre, note-t-on.
En 2010, le gouvernement ivoirien a initié un programme de réduction de la pauvreté dans le District du Bas-Sassandra dans une approche novatrice de partenariat public-privé en collaboration avec le PASP et le Système des Nations unies (SNU), dans l’objectif de « contribuer à la sécurité alimentaire et à la lutte contre la pauvreté dans le milieu des jeunes et des femmes ».
Le lancement de la seconde phase de ce programme va avoir lieu grâce à des financements additionnels obtenus afin de poursuivre et d’atteindre les objectifs de départ de réduction de la pauvreté dans la région de San Pedro en faveur de la cible visée, souligne la circulaire.
Ces nouveaux financements, d’un montant global de plus de 3 millions 300 mille $ américains, ont été mobilisés auprès de plusieurs bailleurs dont le Fonds de développement durable de la Coopération espagnole, le Fonds d’entretien routier (FER), le SNU, et avec l’appui technique et financier du PASP.
D’une durée de trois ans, le programme qui sera lancé se développera en synergie avec d’autres projets du SNU dans la région, notamment dans le domaine de la formation professionnelle.
Le coût du programme conjoint actualisé en 2010 était évalué à plus de 6 milliards de francs Cfa. Démarré en mars 2010, le taux d’exécution de la première phase n’était seulement que de 22% au 31 juillet 2012, avait indiqué le directeur régional du Plan et du Développement de San Pedro, Sahin Alla Maurice, le 09 septembre lors d’une réunion préparatoire du 2nd programme.
L’Enquête de niveau de vie (ENV) 2008 a révélé que la pauvreté en Côte d’Ivoire a atteint, en milieu rural, 62,45% de la population contre 49,88% en milieu urbain.
jmk/kkp/tm
A cette cérémonie, le nouveau programme conjoint sera signé et lancé par ses différents partenaires nationaux et internationaux, de même que seront approuvées les prochaines étapes de sa mise en œuvre, note-t-on.
En 2010, le gouvernement ivoirien a initié un programme de réduction de la pauvreté dans le District du Bas-Sassandra dans une approche novatrice de partenariat public-privé en collaboration avec le PASP et le Système des Nations unies (SNU), dans l’objectif de « contribuer à la sécurité alimentaire et à la lutte contre la pauvreté dans le milieu des jeunes et des femmes ».
Le lancement de la seconde phase de ce programme va avoir lieu grâce à des financements additionnels obtenus afin de poursuivre et d’atteindre les objectifs de départ de réduction de la pauvreté dans la région de San Pedro en faveur de la cible visée, souligne la circulaire.
Ces nouveaux financements, d’un montant global de plus de 3 millions 300 mille $ américains, ont été mobilisés auprès de plusieurs bailleurs dont le Fonds de développement durable de la Coopération espagnole, le Fonds d’entretien routier (FER), le SNU, et avec l’appui technique et financier du PASP.
D’une durée de trois ans, le programme qui sera lancé se développera en synergie avec d’autres projets du SNU dans la région, notamment dans le domaine de la formation professionnelle.
Le coût du programme conjoint actualisé en 2010 était évalué à plus de 6 milliards de francs Cfa. Démarré en mars 2010, le taux d’exécution de la première phase n’était seulement que de 22% au 31 juillet 2012, avait indiqué le directeur régional du Plan et du Développement de San Pedro, Sahin Alla Maurice, le 09 septembre lors d’une réunion préparatoire du 2nd programme.
L’Enquête de niveau de vie (ENV) 2008 a révélé que la pauvreté en Côte d’Ivoire a atteint, en milieu rural, 62,45% de la population contre 49,88% en milieu urbain.
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