Abidjan - La cimenterie CIMAF, accusée par des riverains d’empêcher l’écoulement de l’eau de ruissellement qui stagne et provoque des maladies, rejette toute responsabilité dans cette situation, pointant la faible capacité de rétention d’un bassin d’orage situé non loin de ses locaux.
"CIMAF n’a rien à avoir avec cette situation, c’est une situation historique (…). Aujourd’hui, CIMAF n’utilise pas d’eau dans sa technologie, et donc ne déverse pas d’eau usée dans ce bassin", s’est défendu son directeur général régional, Khalid Iben Khayat, lors d’une conférence de presse lundi dans la matinée au siège de l’entreprise à la zone industrielle de Yopougon, après une manifestation des riverains, quelques heures plus tôt.
"Toute l’eau usée du secteur converge vers ce bassin et plusieurs entreprises de la zone y déversent leurs eaux usées. Nous travaillons avec plusieurs administrations publiques compétentes, dont l’AGEDI, BNEDT et l’ONAD pour régler cette situation, mais ça ne doit pas être que l’affaire de notre entreprise seule, mais celle de toutes les entreprises concernées, a poursuivi M. Iben Khayat, estimant que les problèmes entre la CIMAF et ses "voisins" ne relèvent que d’une "incompréhension".
Ce qui a été dissipé à la suite d’une rencontre avec des représentants des riverains dans la matinée de lundi, a précisé Khalid Iben Khayat.
"A partir de demain (mardi, ndlr), nous allons procéder à l’évacuation des eaux stagnantes pour venir en aide à nos voisins qui en souffrent", a-t-il promis.
Située dans une zone marécageuse, la CIMAF, entreprise créée en 2011, est souvent victime d’inondation tout comme ses voisins des quartiers An 2000 et MACA-Extension. Ce qui a été le cas en juillet dernier et en 2009 avec, à la clé, plusieurs dégâts matériels.
La cimenterie CIMAF, ce sont 200 emplois directs et 1000 emplois indirects, avec une capacité de production de 500.000 tonnes de ciment par an. L’entreprise est en phase de doubler sa production pour passer à un million de tonnes de ciments par an, avec un investissement de 16 milliards de FCFA dont 5 milliards consacrés principalement à l’aspect environnemental.
tm/kkp/tm
"CIMAF n’a rien à avoir avec cette situation, c’est une situation historique (…). Aujourd’hui, CIMAF n’utilise pas d’eau dans sa technologie, et donc ne déverse pas d’eau usée dans ce bassin", s’est défendu son directeur général régional, Khalid Iben Khayat, lors d’une conférence de presse lundi dans la matinée au siège de l’entreprise à la zone industrielle de Yopougon, après une manifestation des riverains, quelques heures plus tôt.
"Toute l’eau usée du secteur converge vers ce bassin et plusieurs entreprises de la zone y déversent leurs eaux usées. Nous travaillons avec plusieurs administrations publiques compétentes, dont l’AGEDI, BNEDT et l’ONAD pour régler cette situation, mais ça ne doit pas être que l’affaire de notre entreprise seule, mais celle de toutes les entreprises concernées, a poursuivi M. Iben Khayat, estimant que les problèmes entre la CIMAF et ses "voisins" ne relèvent que d’une "incompréhension".
Ce qui a été dissipé à la suite d’une rencontre avec des représentants des riverains dans la matinée de lundi, a précisé Khalid Iben Khayat.
"A partir de demain (mardi, ndlr), nous allons procéder à l’évacuation des eaux stagnantes pour venir en aide à nos voisins qui en souffrent", a-t-il promis.
Située dans une zone marécageuse, la CIMAF, entreprise créée en 2011, est souvent victime d’inondation tout comme ses voisins des quartiers An 2000 et MACA-Extension. Ce qui a été le cas en juillet dernier et en 2009 avec, à la clé, plusieurs dégâts matériels.
La cimenterie CIMAF, ce sont 200 emplois directs et 1000 emplois indirects, avec une capacité de production de 500.000 tonnes de ciment par an. L’entreprise est en phase de doubler sa production pour passer à un million de tonnes de ciments par an, avec un investissement de 16 milliards de FCFA dont 5 milliards consacrés principalement à l’aspect environnemental.
tm/kkp/tm