Abengourou - Une cinquantaine d’agents recenseurs, issus des régions du Bounkani, du Gontougo, de l’Indénié-Djuablin et de la Mé ont pris part jeudi et vendredi à Abengourou à une session de formation, dans le cadre de l’opération de recensement des sites d’orpaillage clandestin en Côte d’Ivoire.
Ils ont appris comment identifier les différents sites d’orpaillage clandestin, les localités concernées par ce phénomène, les chefs de groupes d’orpailleurs et les chefs de village qui s’adonnent à cette activité illégale.
"Un plan d’action sur l’orpaillage a été mis en place par le gouvernement le 22 octobre 2013 et formalisé par l’arrêté du Premier ministre au mois de mars 2014. La mise en œuvre de ce plan d’action nécessite la formation d’agents recenseurs", a expliqué le responsable chargé du programme de rationalisation de l’orpaillage en Côte d’Ivoire, Abé Angou Martial.
M. Abé, par ailleurs, directeur de l’Exploitation artisanale des petites mines et carrières au ministère de l’Industrie et des Mines, a exprimé sa gratitude au roi de l’Indénié, Nanan Boa Kouassi III, pour son implication dans la lutte contre la prolifération des sites d’orpaillage clandestin dans le département d’Abengourou.
Il avait ordonné la suspension immédiate des chefs de village qui avaient autorisé cette activité sur le territoire du royaume, évoque-t-on.
"Cette activité clandestine a entrainé la pollution de l’eau et des poissons. Les gens qui ont consommé cette eau et ses poissons intoxiqués sont même morts. Il est question donc de mettre fin à cet orpaillage sauvage avec ses conséquences dommageables pour la population", a fait savoir M. Abé, précisant que l’objectif de ce programme de rationalisation de l’orpaillage en Côte d’Ivoire est de faire en sorte que cette activité soit organisée au profit des nationaux qui, seuls, ont le droit de l’exercer.
Il s’agit également, a-t-il dit, de faire en sorte que les plantations ne soient plus parsemées de trous, les paysans partent au champ sans risque de tomber dans un trou, les enfants aillent plutôt à l’école que dans ces mines sauvages et qu’ils ne s’adonnent pas à la drogue, et que la prostitution ne gangrène pas les villages aurifères.
Rkk/kp
Ils ont appris comment identifier les différents sites d’orpaillage clandestin, les localités concernées par ce phénomène, les chefs de groupes d’orpailleurs et les chefs de village qui s’adonnent à cette activité illégale.
"Un plan d’action sur l’orpaillage a été mis en place par le gouvernement le 22 octobre 2013 et formalisé par l’arrêté du Premier ministre au mois de mars 2014. La mise en œuvre de ce plan d’action nécessite la formation d’agents recenseurs", a expliqué le responsable chargé du programme de rationalisation de l’orpaillage en Côte d’Ivoire, Abé Angou Martial.
M. Abé, par ailleurs, directeur de l’Exploitation artisanale des petites mines et carrières au ministère de l’Industrie et des Mines, a exprimé sa gratitude au roi de l’Indénié, Nanan Boa Kouassi III, pour son implication dans la lutte contre la prolifération des sites d’orpaillage clandestin dans le département d’Abengourou.
Il avait ordonné la suspension immédiate des chefs de village qui avaient autorisé cette activité sur le territoire du royaume, évoque-t-on.
"Cette activité clandestine a entrainé la pollution de l’eau et des poissons. Les gens qui ont consommé cette eau et ses poissons intoxiqués sont même morts. Il est question donc de mettre fin à cet orpaillage sauvage avec ses conséquences dommageables pour la population", a fait savoir M. Abé, précisant que l’objectif de ce programme de rationalisation de l’orpaillage en Côte d’Ivoire est de faire en sorte que cette activité soit organisée au profit des nationaux qui, seuls, ont le droit de l’exercer.
Il s’agit également, a-t-il dit, de faire en sorte que les plantations ne soient plus parsemées de trous, les paysans partent au champ sans risque de tomber dans un trou, les enfants aillent plutôt à l’école que dans ces mines sauvages et qu’ils ne s’adonnent pas à la drogue, et que la prostitution ne gangrène pas les villages aurifères.
Rkk/kp