Abidjan - Un atelier de restitution et de dissémination des recommandations adressées à la Côte d’Ivoire lors de la 19ème session du conseil des droits de l’Homme à l’issue de l’Examen périodique universel (EPU) initié par le ministère de la Justice, des droits de l’Homme et des Libertés publiques (MJDHLP) a démarré mercredi à l’hôtel Belle-Côte, à Abidjan.
Organisé en partenariat avec la division des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), cet atelier, selon le directeur de cabinet adjoint du MJDHLP, Bako Jean Fructueux, a pour objectif d’informer les populations sur les conclusions de l’EPU qui permettront aux acteurs de s’imprégner et de s’approprier les recommandations.
"La présente rencontre sera aussi un cadre de sensibilisation et de prise d’engagement de tous les acteurs pour soutenir notre pays dans la mise en œuvre des recommandations du conseil des droits de l’Homme, de définition des meilleurs moyens et ou stratégies pour assurer la mise en œuvre de recommandations et un suivi effectif du mécanisme de l’EPU au plan national", a ajouté M. Bako.
"Il n’y a pas de doute, la situation des droits de l’Homme évolue. Il y a des progrès sensibles qui se constatent, même si beaucoup reste à faire d’autant plus que l’idéal des droits de l’Homme est un travail de longue haleine", a apprécié le chef de la division des droits de l’Homme de l’ONUCI, Eugène Nindorera. Il a félicité la Côte d’Ivoire pour son assiduité au processus de l’EPU car, a-t-il relevé, le pays est à son deuxième passage après celui de 2009.
C'est pourquoi, M. Nindorera qui a promis le soutien de l'ONUCI pour accompagner le pays a invité à encourager davantage les rapports alternatifs des organisations de la société civile, appelant leur participation effective à la rédaction, la soumission, l’examen du rapport de l’Etat et le suivi de la mise en œuvre des recommandations.
Ce séminaire sera sanctionné par un plan d’action de la mise en œuvre des recommandations de l’EPU.
(AIP)
ik/kkp/kam
Organisé en partenariat avec la division des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), cet atelier, selon le directeur de cabinet adjoint du MJDHLP, Bako Jean Fructueux, a pour objectif d’informer les populations sur les conclusions de l’EPU qui permettront aux acteurs de s’imprégner et de s’approprier les recommandations.
"La présente rencontre sera aussi un cadre de sensibilisation et de prise d’engagement de tous les acteurs pour soutenir notre pays dans la mise en œuvre des recommandations du conseil des droits de l’Homme, de définition des meilleurs moyens et ou stratégies pour assurer la mise en œuvre de recommandations et un suivi effectif du mécanisme de l’EPU au plan national", a ajouté M. Bako.
"Il n’y a pas de doute, la situation des droits de l’Homme évolue. Il y a des progrès sensibles qui se constatent, même si beaucoup reste à faire d’autant plus que l’idéal des droits de l’Homme est un travail de longue haleine", a apprécié le chef de la division des droits de l’Homme de l’ONUCI, Eugène Nindorera. Il a félicité la Côte d’Ivoire pour son assiduité au processus de l’EPU car, a-t-il relevé, le pays est à son deuxième passage après celui de 2009.
C'est pourquoi, M. Nindorera qui a promis le soutien de l'ONUCI pour accompagner le pays a invité à encourager davantage les rapports alternatifs des organisations de la société civile, appelant leur participation effective à la rédaction, la soumission, l’examen du rapport de l’Etat et le suivi de la mise en œuvre des recommandations.
Ce séminaire sera sanctionné par un plan d’action de la mise en œuvre des recommandations de l’EPU.
(AIP)
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