L'Association des élèves et étudiants musulmans de Côte d'Ivoire (AEEMCI) a désigné, dimanche, à sa tête un nouvel Amir (Président national) au terme des travaux de son 17è congrès ordinaire, sollicitant auprès du Président Alassane Ouattara le statut d'"Association d'utilité publique".
Pendant trois jours, près 500 congressistes venus de toutes les régions du pays, ont travaillé dans différentes commissions pour améliorer les outils de gestion de leur structure autour du thème "AEEMCI, 40 ans d'activités socio-éducatives: le défis de la capitalisation des ressources humaines".
Ces travaux ont été également marqués par le renouvellement des instances dirigeantes de l'AEEMCI. A cet effet, Mamadou Koné qui a fait ses premiers pas au sein de la structure à Bonon (Centre-Ouest) a été désigné, nouvel Amir, en remplacement d’El Hadj Mamadou Gnénéfoli Ouattara après un mandant de deux ans.
L'une des plus fortes résolutions de ce congrès a été, le statut "d'Association d'utilité publique" sollicité par l'AEEMCI auprès du Président de la République Alassane Ouattara, au regard de 40 ans d'activités socio-éducatives au service de la population.
Dans sa dernière allocution en qualité d'Amir, empreinte d'émotion, El Hadj Mamadou Gnénéfoli Ouattara dont le bilan a été jugé "très positif" par les participants a essentiellement témoigné lors de la cérémonie de clôture, sa "gratitude et reconnaissance" à tous ceux qui ont concouru par des "idées, conseils, moyens financiers et matériels" à la réussite de son passage à la "tête de la locomotive" des associations musulmanes de Côte d'Ivoire.
Mesurant l'ampleur de la responsabilité qui est désormais la sienne, le nouvel Amir s'est "engagé à faire appliquer tous les actes sortis du 17 congrès" et à "défendre" dans la mesure du possible, les "intérêts de l'AEEMCI et des Aeemcistes".
"Je mesure la teneur du mandat qui vient de m'être confié. Je mesure les exigences du moment. Je n'ai donc pas le droit de vous décevoir" a poursuivi Mamadou Koné, précédemment 2è Vice-Amir, invitant tous les membres de l’association à se mettre au travail en vue de faire aboutir les objectifs assignés à sa mandature de deux ans.
"Une nouvelle équipe est mise en place (...) C'est ce qui caractérise un système dynamique", a déclaré Dr Lamine Konaté, représentant le parrain de ce congrès, l'ancien ministre Saliou Touré et Président de l'Université internationale de Grand-Bassam.
Félicitant les nouveaux dirigeants de l'AEEMCI pour leur désignation, il a relevé que "la qualité de la ressource humaine que vous constituez, doit faire la différence". Dr Konaté a, dans la foulée, invité les "aînés" à soutenir les cadets pour poursuivre ce "travail colossal".
Pour le Cheick Aïma Boikary Fofana, Président du Conseil supérieur des imams (COSIM) de Côte d'Ivoire, "ce 17è congrès marque l'âge de la maturité de l'AEEMCI". "Nous sommes fiers de vous. Durant 40 ans, vous n'avez pas été signalés parmi les associations qui perturbent la vie scolaire et universitaire", s'est félicité le guide de la communauté musulmane en s'adressant aux Aeemcistes.
"Nous sommes venus, vous témoigner notre fierté. Le meilleur Aeemciste est celui qui réussit sa vie scolaire et universitaire. Allons doucement pour arriver vite", a-t-il conseillé aux congressistes.
Auparavant, Michel Touré Secrétaire général de l'Ecole supérieure africaine des technologies de l'Information et de la communication (ESATIC) qui a accueilli ce congrès, Sindou Cissé représentant du ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique ainsi que Sayndou Bakayoko Président de l'Amicale des anciens de l'AEEMCI, ont tour à tour salué les actions de cette structure qui a offert de hauts cadres compétents à l'administration ivoirienne.
LS/hs/APA
Pendant trois jours, près 500 congressistes venus de toutes les régions du pays, ont travaillé dans différentes commissions pour améliorer les outils de gestion de leur structure autour du thème "AEEMCI, 40 ans d'activités socio-éducatives: le défis de la capitalisation des ressources humaines".
Ces travaux ont été également marqués par le renouvellement des instances dirigeantes de l'AEEMCI. A cet effet, Mamadou Koné qui a fait ses premiers pas au sein de la structure à Bonon (Centre-Ouest) a été désigné, nouvel Amir, en remplacement d’El Hadj Mamadou Gnénéfoli Ouattara après un mandant de deux ans.
L'une des plus fortes résolutions de ce congrès a été, le statut "d'Association d'utilité publique" sollicité par l'AEEMCI auprès du Président de la République Alassane Ouattara, au regard de 40 ans d'activités socio-éducatives au service de la population.
Dans sa dernière allocution en qualité d'Amir, empreinte d'émotion, El Hadj Mamadou Gnénéfoli Ouattara dont le bilan a été jugé "très positif" par les participants a essentiellement témoigné lors de la cérémonie de clôture, sa "gratitude et reconnaissance" à tous ceux qui ont concouru par des "idées, conseils, moyens financiers et matériels" à la réussite de son passage à la "tête de la locomotive" des associations musulmanes de Côte d'Ivoire.
Mesurant l'ampleur de la responsabilité qui est désormais la sienne, le nouvel Amir s'est "engagé à faire appliquer tous les actes sortis du 17 congrès" et à "défendre" dans la mesure du possible, les "intérêts de l'AEEMCI et des Aeemcistes".
"Je mesure la teneur du mandat qui vient de m'être confié. Je mesure les exigences du moment. Je n'ai donc pas le droit de vous décevoir" a poursuivi Mamadou Koné, précédemment 2è Vice-Amir, invitant tous les membres de l’association à se mettre au travail en vue de faire aboutir les objectifs assignés à sa mandature de deux ans.
"Une nouvelle équipe est mise en place (...) C'est ce qui caractérise un système dynamique", a déclaré Dr Lamine Konaté, représentant le parrain de ce congrès, l'ancien ministre Saliou Touré et Président de l'Université internationale de Grand-Bassam.
Félicitant les nouveaux dirigeants de l'AEEMCI pour leur désignation, il a relevé que "la qualité de la ressource humaine que vous constituez, doit faire la différence". Dr Konaté a, dans la foulée, invité les "aînés" à soutenir les cadets pour poursuivre ce "travail colossal".
Pour le Cheick Aïma Boikary Fofana, Président du Conseil supérieur des imams (COSIM) de Côte d'Ivoire, "ce 17è congrès marque l'âge de la maturité de l'AEEMCI". "Nous sommes fiers de vous. Durant 40 ans, vous n'avez pas été signalés parmi les associations qui perturbent la vie scolaire et universitaire", s'est félicité le guide de la communauté musulmane en s'adressant aux Aeemcistes.
"Nous sommes venus, vous témoigner notre fierté. Le meilleur Aeemciste est celui qui réussit sa vie scolaire et universitaire. Allons doucement pour arriver vite", a-t-il conseillé aux congressistes.
Auparavant, Michel Touré Secrétaire général de l'Ecole supérieure africaine des technologies de l'Information et de la communication (ESATIC) qui a accueilli ce congrès, Sindou Cissé représentant du ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique ainsi que Sayndou Bakayoko Président de l'Amicale des anciens de l'AEEMCI, ont tour à tour salué les actions de cette structure qui a offert de hauts cadres compétents à l'administration ivoirienne.
LS/hs/APA