Abidjan - Le ministère de l’Intégration et des Ivoiriens de l’étranger, en partenariat avec le Centre d’accueil d’information, d’orientation et d’accompagnement des migrants de Côte d’Ivoire (CAIOM-CI), a initié une session de sensibilisation sur l’immigration clandestine dans le district d’Abidjan.
La première étape de cette caravane a eu lieu à Anyama, le 23 décembre, lors d’une rencontre avec les populations de cette commune à la salle des fêtes de la mairie où les organisateurs ont appelé les Ivoiriens à prendre les meilleures dispositions afin de voyager sans crainte, notamment le respect de toutes les procédures en la matière.
Selon Patrice Kouassi, un officier du bureau ivoirien d’Interpol, plusieurs clandestins restent terrés durant des années dans des endroits du monde où certains d’entre eux trouvent la mort, faute de moyens de survie, ou des suites de brutalités policières, ou encore dans le naufrage de bateaux de fortune.
« Ce mal est un fait réel en Côte d’Ivoire », a déploré l’agent d’Interpol qui appelle la jeunesse à prendre conscience du danger que représente ce fléau.
La directrice du CAIOM-CI, Ekra Cynthia, qui a pris part à cette séance de sensibilisation a fait savoir que les bureaux de son administration restent ouverts à tous pour guider les potentiels voyageurs.
Cette session de sensibilisation se poursuit cette semaine avec l’étape de Treichville prévue ce lundi.
kkp/tm
La première étape de cette caravane a eu lieu à Anyama, le 23 décembre, lors d’une rencontre avec les populations de cette commune à la salle des fêtes de la mairie où les organisateurs ont appelé les Ivoiriens à prendre les meilleures dispositions afin de voyager sans crainte, notamment le respect de toutes les procédures en la matière.
Selon Patrice Kouassi, un officier du bureau ivoirien d’Interpol, plusieurs clandestins restent terrés durant des années dans des endroits du monde où certains d’entre eux trouvent la mort, faute de moyens de survie, ou des suites de brutalités policières, ou encore dans le naufrage de bateaux de fortune.
« Ce mal est un fait réel en Côte d’Ivoire », a déploré l’agent d’Interpol qui appelle la jeunesse à prendre conscience du danger que représente ce fléau.
La directrice du CAIOM-CI, Ekra Cynthia, qui a pris part à cette séance de sensibilisation a fait savoir que les bureaux de son administration restent ouverts à tous pour guider les potentiels voyageurs.
Cette session de sensibilisation se poursuit cette semaine avec l’étape de Treichville prévue ce lundi.
kkp/tm