Traoré Lacina, le longiligne attaquant de l’AS Monaco sera à la CAN 2015 avec les Eléphants. Pour sa deuxième participation à cette prestigieuse compétition africaine de football, il ne voit rien d’autre que la victoire finale.
A quelques semaines de la CAN 2015, pensez-vous que la sélection ivoirienne a les hommes qu’il faut pour la bataille ?
Je dirai oui, sauf qu’il faut maintenant former un groupe en quelques semaines, je pense que le coach sait ce qu’il fait, même s’il faut reconnaître que ce n’est pas facile pour lui. Il y a des anciens qui étaient là et qui sont sortis du groupe. Il y a des jeunes qui ont fait leur entrée dans le groupe, c’est tout cela qu’il faut gérer. On espère que leur arrivée en équipe nationale va apporter un plus, surtout la chance.
Personnellement, que représente pour vous cette CAN 2015 ?
Ça va être ma deuxième CAN et je serai très ravi de revenir avec le trophée. J’ai foi et je parle toujours avec mes amis, mes coéquipiers et nous disons que cette année doit être celle du tout ou rien. Nous entendons revenir avec le trophée. On a entendu beaucoup de choses, on a été victime des injures par le passé et là, on sait ce qui nous attend. Nous sommes des professionnels, pas des enfants. Cette année, nous allons tout faire pour ramener la coupe aux Ivoiriens.
Est-ce à dire que la malédiction qui vous poursuit depuis des années est terminée ?
Je ne crois pas qu’il y ait une malédiction qui nous poursuit. Seulement, nous manquons de chance. Notre souhait est de tout fait pour arriver au bout cette année. Nous allons donner le maximum pendant cette compétition et après on verra. Parce que, n’oubliez pas que l’homme propose et Dieu dispose. Ce n’est pas une excuse mais... Les Ivoiriens doivent savoir qu’à chaque fois que nous sommes sur le terrain, notre objectif est de donner le meilleur de nous-mêmes pour leur faire plaisir.
Après une longue absence pensez-vous avoir une place de titulaire sur le front de l’attaque lors de cette compétition ?
Après un an et demi d’absence, ce n’est pas facile de retrouver ses repères. Mais, je continue toujours de bosser, le coach a confiance en moi et c’est le plus important. Ce n’est pas la personne de Traoré Lacina qui compte mais le groupe.
Réalisé par Guy Gbocho
A quelques semaines de la CAN 2015, pensez-vous que la sélection ivoirienne a les hommes qu’il faut pour la bataille ?
Je dirai oui, sauf qu’il faut maintenant former un groupe en quelques semaines, je pense que le coach sait ce qu’il fait, même s’il faut reconnaître que ce n’est pas facile pour lui. Il y a des anciens qui étaient là et qui sont sortis du groupe. Il y a des jeunes qui ont fait leur entrée dans le groupe, c’est tout cela qu’il faut gérer. On espère que leur arrivée en équipe nationale va apporter un plus, surtout la chance.
Personnellement, que représente pour vous cette CAN 2015 ?
Ça va être ma deuxième CAN et je serai très ravi de revenir avec le trophée. J’ai foi et je parle toujours avec mes amis, mes coéquipiers et nous disons que cette année doit être celle du tout ou rien. Nous entendons revenir avec le trophée. On a entendu beaucoup de choses, on a été victime des injures par le passé et là, on sait ce qui nous attend. Nous sommes des professionnels, pas des enfants. Cette année, nous allons tout faire pour ramener la coupe aux Ivoiriens.
Est-ce à dire que la malédiction qui vous poursuit depuis des années est terminée ?
Je ne crois pas qu’il y ait une malédiction qui nous poursuit. Seulement, nous manquons de chance. Notre souhait est de tout fait pour arriver au bout cette année. Nous allons donner le maximum pendant cette compétition et après on verra. Parce que, n’oubliez pas que l’homme propose et Dieu dispose. Ce n’est pas une excuse mais... Les Ivoiriens doivent savoir qu’à chaque fois que nous sommes sur le terrain, notre objectif est de donner le meilleur de nous-mêmes pour leur faire plaisir.
Après une longue absence pensez-vous avoir une place de titulaire sur le front de l’attaque lors de cette compétition ?
Après un an et demi d’absence, ce n’est pas facile de retrouver ses repères. Mais, je continue toujours de bosser, le coach a confiance en moi et c’est le plus important. Ce n’est pas la personne de Traoré Lacina qui compte mais le groupe.
Réalisé par Guy Gbocho