De retour en Côte d’Ivoire après plusieurs années d’absence, Adélize se confie à Le Sursaut et explique les raisons.
Après cette longue absence de la scène musicale ivoirienne, peut-on dire qu’Adélize a mis une croix sur sa carrière musicale ?
Non, pas du tout. A preuve, je suis venue faire le tournage d’un vidéo-clip. Je repars dans quelques jours en France pour revenir fin février. C’est un maxi single. Sur ce single, il y a deux titres. Les chansons sont en guéré et en français. L’une est dansante et l’autre est un slow. C’est le même style, à l’image de la chanson ‘téléphoner’ que vous avez connue. Attendez vous donc à cela. Je n’ai pas mis un terme à ma carrière d’autant que je suis à mon septième album. Le sixième était un best of.
Qu’est-ce qui explique donc cette si longue absence ?
C’est la situation socioculturelle. La piraterie n’encourage pas les artistes. Faire un voyage depuis la France, venir en Côte d’Ivoire pour la promotion et au bout du compte, ne pas faire de profit, c’est décourageant. C’est vrai que je suis occupée à d’autres fonctions. Mais la principale raison de mon absence de la scène musicale ivoirienne, c’est cela. Sinon, là-bas, en France, je suis sous contrat. Je peux donc me dégager quand je veux. Je ne sais pas quel remède trouver à la piraterie. Même l’Etat a du mal à faire face à ce phénomène. Aujourd’hui, avec l’Internet, ce n’est pas facile de l’éradiquer. Les fans vont sur les sites de téléchargement et se servent. C’est difficile. Avec les concerts, les artistes s’en sortent. Sinon, la vente du disque ne rapporte plus.
Votre nouveau single est-il adapté au rythme urbain actuel, le coupé décalé ?
Non. Adélize est égale à elle-même. Je ne crains pas le coupé décalé. Ces jeunes font la musique de leur génération et tous ceux qui sont de cette génération les suivent. Tout comme ceux de ma génération me suivent. Il y a donc la place pour tout le monde. Il n’y a pas à avoir peur les uns des autres.
Quel est le secret d’Adélize pour garder toujours son charme ?
Je ne sais pas (rires). Il n’y a pas de secret. Seulement, je ne bois pas. Je ne fume pas non plus.
Que réservez-vous à votre public qui a longtemps attendu ?
Le meilleur. Quand je reviendrai, je ferai une tournée dans le pays profond pour communier avec mes fans. Au public, je dirai qu’Adélize est toujours là avec eux. Qu’il continue de me soutenir. Je reviendrai pour la présentation de mon single. Et un grand concert est prévu à Guiglo. J’y invite toute la rédaction de Le Sursaut. Je vous remercie de m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer. Bonne et heureuse année à tous.
NAHIN CYRILLE
Après cette longue absence de la scène musicale ivoirienne, peut-on dire qu’Adélize a mis une croix sur sa carrière musicale ?
Non, pas du tout. A preuve, je suis venue faire le tournage d’un vidéo-clip. Je repars dans quelques jours en France pour revenir fin février. C’est un maxi single. Sur ce single, il y a deux titres. Les chansons sont en guéré et en français. L’une est dansante et l’autre est un slow. C’est le même style, à l’image de la chanson ‘téléphoner’ que vous avez connue. Attendez vous donc à cela. Je n’ai pas mis un terme à ma carrière d’autant que je suis à mon septième album. Le sixième était un best of.
Qu’est-ce qui explique donc cette si longue absence ?
C’est la situation socioculturelle. La piraterie n’encourage pas les artistes. Faire un voyage depuis la France, venir en Côte d’Ivoire pour la promotion et au bout du compte, ne pas faire de profit, c’est décourageant. C’est vrai que je suis occupée à d’autres fonctions. Mais la principale raison de mon absence de la scène musicale ivoirienne, c’est cela. Sinon, là-bas, en France, je suis sous contrat. Je peux donc me dégager quand je veux. Je ne sais pas quel remède trouver à la piraterie. Même l’Etat a du mal à faire face à ce phénomène. Aujourd’hui, avec l’Internet, ce n’est pas facile de l’éradiquer. Les fans vont sur les sites de téléchargement et se servent. C’est difficile. Avec les concerts, les artistes s’en sortent. Sinon, la vente du disque ne rapporte plus.
Votre nouveau single est-il adapté au rythme urbain actuel, le coupé décalé ?
Non. Adélize est égale à elle-même. Je ne crains pas le coupé décalé. Ces jeunes font la musique de leur génération et tous ceux qui sont de cette génération les suivent. Tout comme ceux de ma génération me suivent. Il y a donc la place pour tout le monde. Il n’y a pas à avoir peur les uns des autres.
Quel est le secret d’Adélize pour garder toujours son charme ?
Je ne sais pas (rires). Il n’y a pas de secret. Seulement, je ne bois pas. Je ne fume pas non plus.
Que réservez-vous à votre public qui a longtemps attendu ?
Le meilleur. Quand je reviendrai, je ferai une tournée dans le pays profond pour communier avec mes fans. Au public, je dirai qu’Adélize est toujours là avec eux. Qu’il continue de me soutenir. Je reviendrai pour la présentation de mon single. Et un grand concert est prévu à Guiglo. J’y invite toute la rédaction de Le Sursaut. Je vous remercie de m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer. Bonne et heureuse année à tous.
NAHIN CYRILLE