Agboville - Le décès de l’artiste-chanteuse Bernadette Yiwoyè, originaire du département d’Agboville, est une "perte", selon les autorités et les populations locales qui se sont confiées à l’AIP.
"Je regrette cette perte au moment où nous avions vraiment besoin d’elle et qu’elle soit partie dans ces conditions", déplore le préfet de région, préfet du département d’Agboville, Bako Privat. Il a présenté, au nom de toute la région, ses condoléances à la famille des artistes et à la famille biologique de Yiwoyè Bernadette.
Yiwoyè Bernadette était adulée dans tout le département. Elle est décédée jeudi suite à une complication de cancer qu’elle trainait depuis plusieurs années.
"C’est dommage parce que nous perdons un brillant artiste de notre région, et c’est elle qui faisait la fierté du département", a poursuivi Ouattara Fandahan Mariame, directrice régionale de la Culture et de la Francophonie de l’Agnéby-Tiassa.
"C’est vraiment dommage que notre fille soit partie si tôt", a ajouté Soschy Aké Mbo, ex-maire d’Agboville et oncle maternel de la défunte.
Yiwoyè Bernadette était dans la lignée des "éléments fédérateurs" du peuple Abbey, a fait observer Madame Appata, responsable de la Chambre de commerce régionale, expliquant que tout Agboville se reconnaissait en cette artiste, surtout à l’occasion des veillées funèbres.
Selon M. Essoh, chef du protocole du maire d’Agboville, Yiwoyè Bernadette aurait lancé sa carrière au début des années 90 en tant que choriste du doyen Assa Bernard, avant de suivre les traces des dinosaures de la musique abbey qu’étaient Aspro Bernard et "Le seigneur" Ekissi Pierre, tous décédés.
(AIP)
dd/kkp/ask
"Je regrette cette perte au moment où nous avions vraiment besoin d’elle et qu’elle soit partie dans ces conditions", déplore le préfet de région, préfet du département d’Agboville, Bako Privat. Il a présenté, au nom de toute la région, ses condoléances à la famille des artistes et à la famille biologique de Yiwoyè Bernadette.
Yiwoyè Bernadette était adulée dans tout le département. Elle est décédée jeudi suite à une complication de cancer qu’elle trainait depuis plusieurs années.
"C’est dommage parce que nous perdons un brillant artiste de notre région, et c’est elle qui faisait la fierté du département", a poursuivi Ouattara Fandahan Mariame, directrice régionale de la Culture et de la Francophonie de l’Agnéby-Tiassa.
"C’est vraiment dommage que notre fille soit partie si tôt", a ajouté Soschy Aké Mbo, ex-maire d’Agboville et oncle maternel de la défunte.
Yiwoyè Bernadette était dans la lignée des "éléments fédérateurs" du peuple Abbey, a fait observer Madame Appata, responsable de la Chambre de commerce régionale, expliquant que tout Agboville se reconnaissait en cette artiste, surtout à l’occasion des veillées funèbres.
Selon M. Essoh, chef du protocole du maire d’Agboville, Yiwoyè Bernadette aurait lancé sa carrière au début des années 90 en tant que choriste du doyen Assa Bernard, avant de suivre les traces des dinosaures de la musique abbey qu’étaient Aspro Bernard et "Le seigneur" Ekissi Pierre, tous décédés.
(AIP)
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