Soubré - Les populations de Gnongboyo, dans le département de Soubré ont été sensibilisées sur les pires formes de travail des enfants dans la cacaoculture à l'initiative de l'organisation non gouvernementale (ONG) "Ivoire Services".
L'objectif est d'éliminer durablement ces formes de travail dans 15 communautés productrices de cacao. Cette sensibilisation s'inscrit dans un projet financé dans le cadre d'un partenariat public-privé impliquant le chocolatier Mars, l'ONG et le Bureau international du travail (BIT).
Selon le chef de projet, Dr Koh Hilaire, une sensibilisation des communautés sur les concepts liés au travail des enfants et leurs conséquences sur leur santé est "plus qu’indispensable pour enrayer le phénomène", expliquant que "plus les populations seront instruites sur les concepts clés, mieux il sera possible d’endiguer le travail des enfants de nos communautés; la place des enfants n’est pas dans les plantations mais à l’école".
Il a expliqué que depuis le début du projet en août 2014, sa structure a visité et entretenu 15 communautés, sensibilisé 519 hommes, 242 femmes et 364 ménages. Elle a aussi organisé sept séances de masse qui ont, selon lui ,touché environ 2000 personnes.
La représentante du BIT, Koffi Monique, a salué pour sa part la mobilisation des communautés autour de la thématique du travail des enfants, indiquant que les campagnes en cours visent à renforcer la compréhension et l’engagement des parents, des responsables des communautés productrices de cacao pour lutter efficacement contre le travail des enfants.
"L’objectif est de contribuer à éliminer le travail des enfants en Côte d’Ivoire notamment dans la cacaoculture. Une implication des communautés productrices de cacao permettra certainement d’atteindre cet objectif", a-t-elle ajouté.
Par ailleurs le représentant du sous-préfet, Doué Simplice, a salué le partenariat BIT-ONG Ivoire Services et s’est réjoui de l’engagement des communautés dans la lutte contre le travail des enfants. Pour lui les enfants ont leur place à l’école et non dans les plantations et l’engagement dans cette lutte est "un devoir civique".
La cérémonie a été marquée par des remises de fournitures scolaires aux enfants déscolarisés, en vue d’inciter les parents à les envoyer à l’école, souligne-t-on.
km/amak/ask
L'objectif est d'éliminer durablement ces formes de travail dans 15 communautés productrices de cacao. Cette sensibilisation s'inscrit dans un projet financé dans le cadre d'un partenariat public-privé impliquant le chocolatier Mars, l'ONG et le Bureau international du travail (BIT).
Selon le chef de projet, Dr Koh Hilaire, une sensibilisation des communautés sur les concepts liés au travail des enfants et leurs conséquences sur leur santé est "plus qu’indispensable pour enrayer le phénomène", expliquant que "plus les populations seront instruites sur les concepts clés, mieux il sera possible d’endiguer le travail des enfants de nos communautés; la place des enfants n’est pas dans les plantations mais à l’école".
Il a expliqué que depuis le début du projet en août 2014, sa structure a visité et entretenu 15 communautés, sensibilisé 519 hommes, 242 femmes et 364 ménages. Elle a aussi organisé sept séances de masse qui ont, selon lui ,touché environ 2000 personnes.
La représentante du BIT, Koffi Monique, a salué pour sa part la mobilisation des communautés autour de la thématique du travail des enfants, indiquant que les campagnes en cours visent à renforcer la compréhension et l’engagement des parents, des responsables des communautés productrices de cacao pour lutter efficacement contre le travail des enfants.
"L’objectif est de contribuer à éliminer le travail des enfants en Côte d’Ivoire notamment dans la cacaoculture. Une implication des communautés productrices de cacao permettra certainement d’atteindre cet objectif", a-t-elle ajouté.
Par ailleurs le représentant du sous-préfet, Doué Simplice, a salué le partenariat BIT-ONG Ivoire Services et s’est réjoui de l’engagement des communautés dans la lutte contre le travail des enfants. Pour lui les enfants ont leur place à l’école et non dans les plantations et l’engagement dans cette lutte est "un devoir civique".
La cérémonie a été marquée par des remises de fournitures scolaires aux enfants déscolarisés, en vue d’inciter les parents à les envoyer à l’école, souligne-t-on.
km/amak/ask