La représentante du secrétaire général des Nations unies pour la Côte d'Ivoire, Aïchatou Mindaoudou, a fait part mardi de son optimisme sur la situation dans ce pays non sans appeler à rester vigilant avant l'élection présidentielle prévue en octobre.
"Je suis optimiste pour la Côte d'Ivoire", a dit Mme Mindaoudou lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur la situation dans ce pays, selon un communiqué de l'ONU reçu à Abidjan.
"Au cours des six derniers mois, la Côte d'Ivoire a continué à faire d'importants progrès vers une paix durable et un redressement économique soutenu", a-t-elle poursuivi.
A en croire Mme Mindaoudou, l'achèvement de plusieurs projets d'infrastructure importants, le retour à Abidjan du siège de la Banque africaine de développement (BAD) et l'organisation réussie de plusieurs manifestations régionales et internationales dans le pays sont une indication de la confiance retrouvée de la communauté internationale envers la Côte d'Ivoire.
"Le président ivoirien Alassane Ouattara et son gouvernement ont continué de prendre des mesures visant à consolider la réconciliation et la cohésion nationale", a encore dit la représentante spéciale du secrétaire général de l'ONU non sans relever "les progrès à réaliser dans plusieurs domaines".
Elle a appelé toutefois à "rester vigilants et déterminés pour faire en sorte que les gains difficilement acquis qui ont permis de faire avancer la stabilité et la prospérité du pays soient irréversibles".
Mme Mindaoudou a indiqué que "la lutte contre l'impunité qui est un facteur essentiel de la réconciliation nationale progresse lentement".
"Il conviendrait d'accentuer les efforts afin de s'assurer que les auteurs d'actes de violation des droits humains y compris d'actes d'abus sexuels soient poursuivis et jugés particulièrement lorsque les prétendus coupables portent l'uniforme", a-t-elle ajouté.
Sur le processus de désarmement, démobilisation et réintégration des anciens combattants, elle a estimé qu'il avançait "de manière satisfaisante" mais qu'après juin 2015, date butoir retenue par les autorités ivoiriennes pour la fin du processus, il restera encore un reliquat d'environ 14.000 ex- combattants devant être réinsérés et réintégrés. Toujours selon Mme Mindaoudou, la situation sécuritaire s'est "notablement améliorée" même si les vols à mains armées, le banditisme et les autres activités criminelles continuent d'être un défi sécuritaire à travers le pays.
La Représentante spéciale s'est dite ravie de noter une légère baisse des conflits intercommunautaires.
Mme Mindaoudou estime que le pays a encore besoin d'être soutenu pour consolider les acquis obtenus jusqu'ici et "pour mener à son terme l'important processus dans lequel elle est aujourd'hui engagée" relativement à la cruciale élection présidentielle d'octobre.
"Je suis optimiste pour la Côte d'Ivoire", a dit Mme Mindaoudou lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur la situation dans ce pays, selon un communiqué de l'ONU reçu à Abidjan.
"Au cours des six derniers mois, la Côte d'Ivoire a continué à faire d'importants progrès vers une paix durable et un redressement économique soutenu", a-t-elle poursuivi.
A en croire Mme Mindaoudou, l'achèvement de plusieurs projets d'infrastructure importants, le retour à Abidjan du siège de la Banque africaine de développement (BAD) et l'organisation réussie de plusieurs manifestations régionales et internationales dans le pays sont une indication de la confiance retrouvée de la communauté internationale envers la Côte d'Ivoire.
"Le président ivoirien Alassane Ouattara et son gouvernement ont continué de prendre des mesures visant à consolider la réconciliation et la cohésion nationale", a encore dit la représentante spéciale du secrétaire général de l'ONU non sans relever "les progrès à réaliser dans plusieurs domaines".
Elle a appelé toutefois à "rester vigilants et déterminés pour faire en sorte que les gains difficilement acquis qui ont permis de faire avancer la stabilité et la prospérité du pays soient irréversibles".
Mme Mindaoudou a indiqué que "la lutte contre l'impunité qui est un facteur essentiel de la réconciliation nationale progresse lentement".
"Il conviendrait d'accentuer les efforts afin de s'assurer que les auteurs d'actes de violation des droits humains y compris d'actes d'abus sexuels soient poursuivis et jugés particulièrement lorsque les prétendus coupables portent l'uniforme", a-t-elle ajouté.
Sur le processus de désarmement, démobilisation et réintégration des anciens combattants, elle a estimé qu'il avançait "de manière satisfaisante" mais qu'après juin 2015, date butoir retenue par les autorités ivoiriennes pour la fin du processus, il restera encore un reliquat d'environ 14.000 ex- combattants devant être réinsérés et réintégrés. Toujours selon Mme Mindaoudou, la situation sécuritaire s'est "notablement améliorée" même si les vols à mains armées, le banditisme et les autres activités criminelles continuent d'être un défi sécuritaire à travers le pays.
La Représentante spéciale s'est dite ravie de noter une légère baisse des conflits intercommunautaires.
Mme Mindaoudou estime que le pays a encore besoin d'être soutenu pour consolider les acquis obtenus jusqu'ici et "pour mener à son terme l'important processus dans lequel elle est aujourd'hui engagée" relativement à la cruciale élection présidentielle d'octobre.
