Débutée le 12 janvier 2015, la 5ème assemblée des Conseils du travail et du dialogue social (CDTS) des Etats membres de L’Uemoa a connu son apothéose ce mercredi 14 janvier 2015 à Ivotel Plateau.
La 5ème assemblée générale qui s’est tenue à Abidjan du 12 au 14 janvier 2015 dernier, a vu le sacre de la Côte d’Ivoire avec l’élection de Coulibaly Bintou, Directrice national du travail. Composés de 12 membres, la Côte d’Ivoire pour les quatre années à venir présidera aux destinées des CTDS. Dans son rôle consultatif, l’institution a pour objectif fondamental de réaliser l’implication effective de tous les acteurs non étatiques dans le processus d’intégration. La nouvelle présidente dit mettre son mandat de quatre ans sous le sceau de l’action et de la continuité. Le président sortant, Ernest Djangoun Affouda de la république du Benin a été félicité pour son travail durant ses quatre années passées à la tête de ladite structure. La paix sociale étant un préalable à tout développement, la présidente du CDTS promet mettre en œuvre tout ce qui est en son pouvoir pour atteindre son objectif de « zéro turbulence » et surtout de continuer d’offrir un cadre tripartite de dialogue social. Elle continue en ces termes : « je sais pouvoir compter avec l’accompagnement de la Commission de l’Uemoa et le soutien des experts du BIT qui ne manqueront pas de nous faciliter l’appropriation des problématiques émergentes et les réponses s’y rapportant. En particulier, celles qui ont été évoquées par le ministre Moussa Dosso : l’emploi des jeunes, l’équité et la protection sociale, le travail décent ». Elle voudrait aussi s’appuyer sur ‘’l’institution mère et tous les partenaires techniques et financiers, notamment le Bureau international du travail (BIT)’’. Au sortir de ces trois jours de travail communautaire, des résolutions visant à aider le CDTS dans l’accomplissement de sa mission, ont été adoptées. Le représentant du ministre Dosso Moussa s’est réjoui du professionnalisme et du succès des travaux de cette section. Il rassure la présidente du soutient indéfectible de l’Etat de Côte d’Ivoire, afin que ce modèle d’intégration sous-régional soit une parfaite réussite et un exemple?
Par Francine Avi
La 5ème assemblée générale qui s’est tenue à Abidjan du 12 au 14 janvier 2015 dernier, a vu le sacre de la Côte d’Ivoire avec l’élection de Coulibaly Bintou, Directrice national du travail. Composés de 12 membres, la Côte d’Ivoire pour les quatre années à venir présidera aux destinées des CTDS. Dans son rôle consultatif, l’institution a pour objectif fondamental de réaliser l’implication effective de tous les acteurs non étatiques dans le processus d’intégration. La nouvelle présidente dit mettre son mandat de quatre ans sous le sceau de l’action et de la continuité. Le président sortant, Ernest Djangoun Affouda de la république du Benin a été félicité pour son travail durant ses quatre années passées à la tête de ladite structure. La paix sociale étant un préalable à tout développement, la présidente du CDTS promet mettre en œuvre tout ce qui est en son pouvoir pour atteindre son objectif de « zéro turbulence » et surtout de continuer d’offrir un cadre tripartite de dialogue social. Elle continue en ces termes : « je sais pouvoir compter avec l’accompagnement de la Commission de l’Uemoa et le soutien des experts du BIT qui ne manqueront pas de nous faciliter l’appropriation des problématiques émergentes et les réponses s’y rapportant. En particulier, celles qui ont été évoquées par le ministre Moussa Dosso : l’emploi des jeunes, l’équité et la protection sociale, le travail décent ». Elle voudrait aussi s’appuyer sur ‘’l’institution mère et tous les partenaires techniques et financiers, notamment le Bureau international du travail (BIT)’’. Au sortir de ces trois jours de travail communautaire, des résolutions visant à aider le CDTS dans l’accomplissement de sa mission, ont été adoptées. Le représentant du ministre Dosso Moussa s’est réjoui du professionnalisme et du succès des travaux de cette section. Il rassure la présidente du soutient indéfectible de l’Etat de Côte d’Ivoire, afin que ce modèle d’intégration sous-régional soit une parfaite réussite et un exemple?
Par Francine Avi