Au moment où les Eléphants débutent la CAN 2015 contre la Guinée, Bonaventure Kalou met en garde les hommes d’Hervé Renard contre une trop grande confiance. « Il ne faudra pas prendre les Guinéens de haut », prévient l’ex-attaquant international.
Vous qui avez l’expérience des grands tournois, pensez-vous que le premier match d’une grande compétition comme la CAN est le plus important ?
C’est un peu fort de dire que la première rencontre est la plus importante. Mais, elle revêt en tout cas une importance capitale. Comme il n’y a que trois matches en poules, il est capital de gagner le premier afin de bien rentrer dans la compétition. Le premier match détermine souvent la suite des événements.
La Côte d’Ivoire serait donc inspirée de battre la Guinée lors de son entrée en lice ce mardi ?
Absolument.
Qu’est-ce que vous savez de cette équipe de la Guinée qui a perdu des joueurs emblématiques comme Pascal Feindouno ou encore Bobo Baldé ?
Ce que je sais, c’est que c’est une équipe très jeune avec beaucoup d’ambitions. Elle ne regorge que des joueurs professionnels dont certains évoluent dans des clubs respectables en Europe. Il n’y a plus de petites équipes dans le foot. Cette CAN va encore renforcer cette réalité. Bon nombre de sélections présentent des joueurs vraiment jeunes qui ont beaucoup d’envie et qui ne craignent rien. Ça va être le cas de la Guinée qui va se présenter face à la Côte d’Ivoire avec une motivation encore plus grande. N’oublions pas que ce sont deux pays voisins. Il y a donc une certaine rivalité. Ça ne sera pas un match facile. Mais il sera important pour la Côte d’Ivoire de gagner.
A vous écouter, la Côte d’Ivoire doit donc craindre la Guinée ?
Les craindre ? Non. Mais il ne faudra surtout pas les prendre de haut en pensant que les choses seront faciles. La Guinée sera un adversaire difficile à manœuvrer, car c’est une équipe qui produit un football technique et de qualité. Il faudra oublier tout ce qu’on a réussi contre eux par le passé. C’est une nouvelle génération. Ils ont à cœur d’écrire leur propre histoire.
Vous avez dit ce qu’il ne faudra surtout pas faire contre le Sily. A contrario, quelle est la bonne attitude à avoir ?
On a des joueurs qui ont une grande expérience de ce genre de rendez-vous. Il faudra s’appuyer sur eux. Certains éléments du groupe savent que c’est leur dernière occasion pour gagner un titre avec le pays.
Selon vous, la Guinée est elle l’équipe la plus faible du groupe D ?
Aujourd’hui, il n’y a pas d’équipe faible. On a trois finales à disputer lors de cette phase de groupes. Il faut simplement les gagner toutes. On ne doit pas jouer en fonction de la réputation des équipes. C’est une mentalité qu’il ne faudra pas avoir.
Avant ses grands débuts à cette CAN, sentez-vous cette équipe de Côte d’Ivoire ?
C’est une question assez difficile. Il y a plusieurs éléments qui entreront en ligne de compte. Il faudra voir dans quelle forme physique on est arrivé au, comment on va aborder le premier match, la volonté qu’on aura pour gagner les matches. Il y a aussi la gestion des hommes. Si tous ces éléments sont bien gérés et que chacun de nos joueurs jouent à son meilleur niveau, on ira très loin. Mais, si on subit des défaillances individuelles, si l’encadrement ne maitrise pas certains paramètres, les choses pourraient être alors compliquées pour nous.
ABDOUL KAPO
Vous qui avez l’expérience des grands tournois, pensez-vous que le premier match d’une grande compétition comme la CAN est le plus important ?
C’est un peu fort de dire que la première rencontre est la plus importante. Mais, elle revêt en tout cas une importance capitale. Comme il n’y a que trois matches en poules, il est capital de gagner le premier afin de bien rentrer dans la compétition. Le premier match détermine souvent la suite des événements.
La Côte d’Ivoire serait donc inspirée de battre la Guinée lors de son entrée en lice ce mardi ?
Absolument.
Qu’est-ce que vous savez de cette équipe de la Guinée qui a perdu des joueurs emblématiques comme Pascal Feindouno ou encore Bobo Baldé ?
Ce que je sais, c’est que c’est une équipe très jeune avec beaucoup d’ambitions. Elle ne regorge que des joueurs professionnels dont certains évoluent dans des clubs respectables en Europe. Il n’y a plus de petites équipes dans le foot. Cette CAN va encore renforcer cette réalité. Bon nombre de sélections présentent des joueurs vraiment jeunes qui ont beaucoup d’envie et qui ne craignent rien. Ça va être le cas de la Guinée qui va se présenter face à la Côte d’Ivoire avec une motivation encore plus grande. N’oublions pas que ce sont deux pays voisins. Il y a donc une certaine rivalité. Ça ne sera pas un match facile. Mais il sera important pour la Côte d’Ivoire de gagner.
A vous écouter, la Côte d’Ivoire doit donc craindre la Guinée ?
Les craindre ? Non. Mais il ne faudra surtout pas les prendre de haut en pensant que les choses seront faciles. La Guinée sera un adversaire difficile à manœuvrer, car c’est une équipe qui produit un football technique et de qualité. Il faudra oublier tout ce qu’on a réussi contre eux par le passé. C’est une nouvelle génération. Ils ont à cœur d’écrire leur propre histoire.
Vous avez dit ce qu’il ne faudra surtout pas faire contre le Sily. A contrario, quelle est la bonne attitude à avoir ?
On a des joueurs qui ont une grande expérience de ce genre de rendez-vous. Il faudra s’appuyer sur eux. Certains éléments du groupe savent que c’est leur dernière occasion pour gagner un titre avec le pays.
Selon vous, la Guinée est elle l’équipe la plus faible du groupe D ?
Aujourd’hui, il n’y a pas d’équipe faible. On a trois finales à disputer lors de cette phase de groupes. Il faut simplement les gagner toutes. On ne doit pas jouer en fonction de la réputation des équipes. C’est une mentalité qu’il ne faudra pas avoir.
Avant ses grands débuts à cette CAN, sentez-vous cette équipe de Côte d’Ivoire ?
C’est une question assez difficile. Il y a plusieurs éléments qui entreront en ligne de compte. Il faudra voir dans quelle forme physique on est arrivé au, comment on va aborder le premier match, la volonté qu’on aura pour gagner les matches. Il y a aussi la gestion des hommes. Si tous ces éléments sont bien gérés et que chacun de nos joueurs jouent à son meilleur niveau, on ira très loin. Mais, si on subit des défaillances individuelles, si l’encadrement ne maitrise pas certains paramètres, les choses pourraient être alors compliquées pour nous.
ABDOUL KAPO