Nouakchott (Mauritanie) - La capitale mauritanienne Nouakchott a abrité lundi soir une conférence ministérielle de haut niveau sur la transparence et le développement en Afrique dont l’ouverture a été présidée par le chef de l’Etat mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz.
Cette conférence est organisée par le gouvernement mauritanien en partenariat avec l’Union Africaine, l’Organisation internationale pour la transparence, l’Union européenne et la Banque africaine de développement.
Elle permettra, deux jours durant, la discussion du cadre juridique de lutte contre la gabegie et les pratiques et expériences internationales et africaines dans le domaine de la lutte contre les flux financiers illégaux.
Un accent particulier sera mis sur les questions de la propriété réelle et les répercussions nuisibles des sociétés fantômes et autres crimes en matière d’impôts.
Les congressistes s’étendront également sur la bonne gouvernance dans le domaine des industries extractives et les efforts déployés par les gouvernements des pays membres de l’Union Africaine pour le respect du cadre de l’Initiative de transparence des industries extractives et du code minier dans le continent.
Dans son discours d’ouverture, Ould Abdel Aziz, par ailleurs président en exercice de l’UA, a souligné que la rigueur dans la gestion, la diffusion de la culture de transparence et les efforts de lutte contre la gabegie ont conduit au changement de l’idée que se fait la société des prévaricateurs, désormais honnis par le citoyen et poursuivi par la loi.
Il a ajouté qu’en Mauritanie, les dépenses ont été réduites et le budget d’investissement augmenté au moment où les recettes fiscales ont été doublées grâce à une lutte efficace contre l’évasion fiscale.
MOO/od/APA
Cette conférence est organisée par le gouvernement mauritanien en partenariat avec l’Union Africaine, l’Organisation internationale pour la transparence, l’Union européenne et la Banque africaine de développement.
Elle permettra, deux jours durant, la discussion du cadre juridique de lutte contre la gabegie et les pratiques et expériences internationales et africaines dans le domaine de la lutte contre les flux financiers illégaux.
Un accent particulier sera mis sur les questions de la propriété réelle et les répercussions nuisibles des sociétés fantômes et autres crimes en matière d’impôts.
Les congressistes s’étendront également sur la bonne gouvernance dans le domaine des industries extractives et les efforts déployés par les gouvernements des pays membres de l’Union Africaine pour le respect du cadre de l’Initiative de transparence des industries extractives et du code minier dans le continent.
Dans son discours d’ouverture, Ould Abdel Aziz, par ailleurs président en exercice de l’UA, a souligné que la rigueur dans la gestion, la diffusion de la culture de transparence et les efforts de lutte contre la gabegie ont conduit au changement de l’idée que se fait la société des prévaricateurs, désormais honnis par le citoyen et poursuivi par la loi.
Il a ajouté qu’en Mauritanie, les dépenses ont été réduites et le budget d’investissement augmenté au moment où les recettes fiscales ont été doublées grâce à une lutte efficace contre l’évasion fiscale.
MOO/od/APA