Suite au meeting des victimes des déchets toxiques au siège du Rdr, hier mercredi 21 janvier, Patrick Lou, Secrétaire national dudit parti, a fustigé la décision du Tribunal, condamnant Claude Gohourou et Koné Cheick Oumar à 20 ans de prison sans mandat de dépôt.
« Ce dossier est une honte pour un Etat de droit comme la Côte d’Ivoire. Nous soutenons les victimes. Claude Gohourou et Koné Cheick Oumar ne resteront pas impunis. Le président de la République, homme de droit, suit personnellement ce dossier », a indiqué Patrick Lou, Secrétaire national du Rdr aux victimes des déchets toxiques. Venues de Yopougon, Abobo, Djibi village, Anyama, Bingerville et Gobélé, les victimes ont pris d’assaut le siège du parti à la case verte. Assises à même le sol, elles attendaient que solution soit trouvée à leurs souffrances. Sur leurs pancartes et affiches, l’on pouvait lire « le Rdr nous dit que le président Ouattara ne cautionne ni l’impunité, ni la discrimination. Mais pourquoi Claude Gohourou et Koné Cheick Oumar, condamnés à 20 ans de prison, sont encore en liberté ? ».Quant aux leaders de cette association des victimes, le Réseau national des victimes des déchets toxiques de Côte d’Ivoire (Renadvidet-Ci), ils ne manquent pas d’accuser ouvertement des cadres du Rdr de protéger les condamnés. D’où la présence massive des victimes devant le siège de ce parti. Qui exigent l’indemnisation des victimes suivie de l’arrestation immédiate de Claude Gohourou, Koné Cheick Oumar, Digbeu Léocadie et Awa N’diaye, épouse M’Baye. Elles sollicitent par ailleurs l’érection d’une commission parlementaire indépendante à l’effet de l’ouverture d’une enquête parlementaire pour situer toutes les responsabilités relatives au détournement dans l’affaire des déchets toxiques. Pour ce faire, elles décident d’observer une grève illimitée de la faim et des meetings éclatés devant certaines institutions de la République.
Cyrille Nahin
« Ce dossier est une honte pour un Etat de droit comme la Côte d’Ivoire. Nous soutenons les victimes. Claude Gohourou et Koné Cheick Oumar ne resteront pas impunis. Le président de la République, homme de droit, suit personnellement ce dossier », a indiqué Patrick Lou, Secrétaire national du Rdr aux victimes des déchets toxiques. Venues de Yopougon, Abobo, Djibi village, Anyama, Bingerville et Gobélé, les victimes ont pris d’assaut le siège du parti à la case verte. Assises à même le sol, elles attendaient que solution soit trouvée à leurs souffrances. Sur leurs pancartes et affiches, l’on pouvait lire « le Rdr nous dit que le président Ouattara ne cautionne ni l’impunité, ni la discrimination. Mais pourquoi Claude Gohourou et Koné Cheick Oumar, condamnés à 20 ans de prison, sont encore en liberté ? ».Quant aux leaders de cette association des victimes, le Réseau national des victimes des déchets toxiques de Côte d’Ivoire (Renadvidet-Ci), ils ne manquent pas d’accuser ouvertement des cadres du Rdr de protéger les condamnés. D’où la présence massive des victimes devant le siège de ce parti. Qui exigent l’indemnisation des victimes suivie de l’arrestation immédiate de Claude Gohourou, Koné Cheick Oumar, Digbeu Léocadie et Awa N’diaye, épouse M’Baye. Elles sollicitent par ailleurs l’érection d’une commission parlementaire indépendante à l’effet de l’ouverture d’une enquête parlementaire pour situer toutes les responsabilités relatives au détournement dans l’affaire des déchets toxiques. Pour ce faire, elles décident d’observer une grève illimitée de la faim et des meetings éclatés devant certaines institutions de la République.
Cyrille Nahin