Le confrère Constant Guéi vient de sortir un recueil de nouvelles paru aux Nouvelles Editions Africaines. Un livre de 150 pages avec des histoires croustillantes et d’actualité. C’est la traque aux salauds !
« ‘’Les salauds, 11 chroniques de la comédie humaine ’’ est une satire des mœurs. Un regard critique sur les tares de la société. Une sorte de réquisitoire contre tout ce qui ne va pas. C’est, en effet, une vigoureuse protestation contre la gabegie, la corruption. Bref, tout ce qui peut se présenter comme obstacles au développement. En gros, je dénonce beaucoup de choses à travers ‘’les salauds’’. Notamment des situations où par exemple le pasteur qui arnaque ses fidèles ou encore l’exemple du cuisinier rejeté par sa famille pour le métier qu’il a choisi. Il y a au total 11 histoires au travers desquelles je m’insurge contre tous les comportements qui tirent nos sociétés vers le bas ». C’est ainsi que Constant Guei résume son recueil de nouvelles édité par Les Nouvelles Editions Africaines. Le journaliste, au travers de 11 chroniques puisées dans le vécu quotidien des Africains, se veut un objecteur de conscience qui tire à boulets rouges sur ceux qui empêchent le développement de l’Afrique. Cette œuvre qui est une peinture simple mais pas du tout simpliste de la société africaine se veut réaliste dans la stigmatisation de nos inconduites et autres comportements aux antipodes du développement que le continent appelle de tous ses vœux. " Les salauds " est un prétexte tout trouvé pour l’auteur d’exposer les laideurs et les hésitations d’un continent qui semble marcher à reculons. « ‘’Les salauds’’ est une sorte de catharsis pour moi. Ce livre se présente comme un remède pour me soigner de la rage qui bouillonne en moi. Par ailleurs, de ces meurtrissures peuvent renaître les lecteurs de ce livre. Pour preuve, ce livre est comme un condensé de conseils pour ceux qui auront l’occasion de le visiter », indique l’auteur. Dans ce livre, une situation peut même parfois devenir épique. Cet ouvrage, au dire de l’auteur, est finalement un projet, la vision d’une société libérée des pesanteurs du sous-développement, dépouillée de ses oripeaux pour séduire le développement. Avec " Les salauds ", Constant Gueï se veut le Balzac de la littérature ivoirienne. Edité par Les Nouvelles Editions Africaines, ce recueil de nouvelles a bénéficié de la signature en avant-propos de Christian Migan, rédacteur en chef du magazine Tycoon et de l’écrivain-éditeur Phillipe Demanois pour la préface.
A .Traoré
« ‘’Les salauds, 11 chroniques de la comédie humaine ’’ est une satire des mœurs. Un regard critique sur les tares de la société. Une sorte de réquisitoire contre tout ce qui ne va pas. C’est, en effet, une vigoureuse protestation contre la gabegie, la corruption. Bref, tout ce qui peut se présenter comme obstacles au développement. En gros, je dénonce beaucoup de choses à travers ‘’les salauds’’. Notamment des situations où par exemple le pasteur qui arnaque ses fidèles ou encore l’exemple du cuisinier rejeté par sa famille pour le métier qu’il a choisi. Il y a au total 11 histoires au travers desquelles je m’insurge contre tous les comportements qui tirent nos sociétés vers le bas ». C’est ainsi que Constant Guei résume son recueil de nouvelles édité par Les Nouvelles Editions Africaines. Le journaliste, au travers de 11 chroniques puisées dans le vécu quotidien des Africains, se veut un objecteur de conscience qui tire à boulets rouges sur ceux qui empêchent le développement de l’Afrique. Cette œuvre qui est une peinture simple mais pas du tout simpliste de la société africaine se veut réaliste dans la stigmatisation de nos inconduites et autres comportements aux antipodes du développement que le continent appelle de tous ses vœux. " Les salauds " est un prétexte tout trouvé pour l’auteur d’exposer les laideurs et les hésitations d’un continent qui semble marcher à reculons. « ‘’Les salauds’’ est une sorte de catharsis pour moi. Ce livre se présente comme un remède pour me soigner de la rage qui bouillonne en moi. Par ailleurs, de ces meurtrissures peuvent renaître les lecteurs de ce livre. Pour preuve, ce livre est comme un condensé de conseils pour ceux qui auront l’occasion de le visiter », indique l’auteur. Dans ce livre, une situation peut même parfois devenir épique. Cet ouvrage, au dire de l’auteur, est finalement un projet, la vision d’une société libérée des pesanteurs du sous-développement, dépouillée de ses oripeaux pour séduire le développement. Avec " Les salauds ", Constant Gueï se veut le Balzac de la littérature ivoirienne. Edité par Les Nouvelles Editions Africaines, ce recueil de nouvelles a bénéficié de la signature en avant-propos de Christian Migan, rédacteur en chef du magazine Tycoon et de l’écrivain-éditeur Phillipe Demanois pour la préface.
A .Traoré
