Après leur nul (1-1) face au Sily national de Guinée Conakry, les Eléphants de Côte d’Ivoire affrontent, cet après-midi, au stade de Malabo, les Aigles du Mali. Une opposition extrêmement importante pour chacune des deux équipes. Eléphants et Aigles ont besoin de victoire pour ne pas se mettre dans une situation difficile de qualification pour les demi-finales. Et Quand l’on se connecte dans le réseau des confrontations entre les deux pays dans cette compétition, les Orange de Côte d’Ivoire ont la palme de l’invincibilité.
En 94, les Eléphants, entraînés par Henri Kasperzack, l’actuel coach du Mali, piétinent les Aigles ; en 2008 au Ghana, les Aigles sont encore plumés par Didier Drogba et ses coéquipiers. Même scénario en 2012 où les Eléphants suspendent le vol des Aigles en demi-finale. Un match dont se souvient encore Hervé Renard, entraineur de la Zambie à l’époque. . « Je le rappelle le dernier match, la demi-finale de 2012. Ce fut un match très très serré et c’est Gervinho qui, sur le côté gauche, marque un superbe but en partant de 50 mètres. A nous de rééditer la même chose en sachant que ça sera aussi difficile », indique Hervé Renard conscient néanmoins que la tâche ne sera pas facile.
Surtout que les Aigles maliens ont fait douter les Lions indomptables du Cameroun lors de la première journée. D’où vigilance dans le camp des Eléphants qui se sont montrés un peu trop tendres à l’entame de cette compétition face au Sily national de Guinée. Hervé Renard le sait et en a pris bonne note si l’on s’en tient à ses propos : « J’ai insisté auprès de mes joueurs qu’il est impardonnable de jouer comme ils l’ont fait en première mi-temps contre la Guinée. On était dans un rythme beaucoup lent pour aller chercher l’adversaire ». Pour que l’histoire se répète, Hervé Renard veut s’appuyer sur l’espoir d’un retour en forme de son capitaine Yaya Touré qui reviendra à son meilleur niveau. « Concernant Yaya, il n’y a pas de problème. Il s’est bien entrainé surtout qu’avant le premier match, il a eu quelques alertes. On n’a pas vu le meilleur Yaya Touré qu’on puisse voir contre la Guinée. Donc maintenant, c’est à lui de porter l’équipe à bout de bras.
S’il a un brassard de capitaine, c’est qu’il a une charge sur les épaules, c’est à lui d’amener ses coéquipiers avec lui, de montrer l’exemple et faire beaucoup mieux que lors du premier match ». En tout cas, en foulant la pelouse du stade de Malabo, les Eléphants savent ce qu’ils doivent faire pour plaire à ces millions d’Ivoiriens qui les regardent. Vivement que la victoire, rien que la victoire soit pour que le peuple ivoirien soit dans l’allégresse !
De Bouaffo
Envoyé spécial
En 94, les Eléphants, entraînés par Henri Kasperzack, l’actuel coach du Mali, piétinent les Aigles ; en 2008 au Ghana, les Aigles sont encore plumés par Didier Drogba et ses coéquipiers. Même scénario en 2012 où les Eléphants suspendent le vol des Aigles en demi-finale. Un match dont se souvient encore Hervé Renard, entraineur de la Zambie à l’époque. . « Je le rappelle le dernier match, la demi-finale de 2012. Ce fut un match très très serré et c’est Gervinho qui, sur le côté gauche, marque un superbe but en partant de 50 mètres. A nous de rééditer la même chose en sachant que ça sera aussi difficile », indique Hervé Renard conscient néanmoins que la tâche ne sera pas facile.
Surtout que les Aigles maliens ont fait douter les Lions indomptables du Cameroun lors de la première journée. D’où vigilance dans le camp des Eléphants qui se sont montrés un peu trop tendres à l’entame de cette compétition face au Sily national de Guinée. Hervé Renard le sait et en a pris bonne note si l’on s’en tient à ses propos : « J’ai insisté auprès de mes joueurs qu’il est impardonnable de jouer comme ils l’ont fait en première mi-temps contre la Guinée. On était dans un rythme beaucoup lent pour aller chercher l’adversaire ». Pour que l’histoire se répète, Hervé Renard veut s’appuyer sur l’espoir d’un retour en forme de son capitaine Yaya Touré qui reviendra à son meilleur niveau. « Concernant Yaya, il n’y a pas de problème. Il s’est bien entrainé surtout qu’avant le premier match, il a eu quelques alertes. On n’a pas vu le meilleur Yaya Touré qu’on puisse voir contre la Guinée. Donc maintenant, c’est à lui de porter l’équipe à bout de bras.
S’il a un brassard de capitaine, c’est qu’il a une charge sur les épaules, c’est à lui d’amener ses coéquipiers avec lui, de montrer l’exemple et faire beaucoup mieux que lors du premier match ». En tout cas, en foulant la pelouse du stade de Malabo, les Eléphants savent ce qu’ils doivent faire pour plaire à ces millions d’Ivoiriens qui les regardent. Vivement que la victoire, rien que la victoire soit pour que le peuple ivoirien soit dans l’allégresse !
De Bouaffo
Envoyé spécial