Bouaké - Le Forum ivoirien de la sécurité urbaine (FISU) a initié une campagne promotionnelle visant à mobiliser les acteurs sociaux en faveur de la sécurité préventive dans la commune de Bouaké.
Son délégué général, Mme Agnès Gnammon Adiko, a indiqué samedi que la promotion de la sécurité préventive et communautaire consiste à associer les populations à la recherche de stratégies de lutte efficace contre l’insécurité et à la mise en œuvre d’actions susceptibles d’influencer les causes de la violence, la délinquance et le banditisme.
"On ne peut plus considérer que la sécurité c’est seulement l’affaire des forces de sécurité, mais chacun de nous doit comprendre qu’il a son mot à dire dans tout ce qui est mis en place", a-t-elle souligné, invitant les différents acteurs sociaux à s’approprier la stratégie de prévention.
Lors de cette rencontre qui a réuni différents acteurs et les forces de sécurité, les échanges ont porté sur le guide de la sécurité urbaine à l’intention des maires rédigé par le FISU sur la base d’expériences vécues dans 23 communes de Côte d’Ivoire, y compris Bouaké. Les participants ont fait des suggestions en rapport avec les réalités du terrain.
Le sous-préfet central de Bouaké, M. Djandet Lorng, a salué l’initiative du forum et encouragé ses acteurs à tout mettre en œuvre pour réduire le taux d’insécurité dans les villes ivoiriennes, principalement à Bouaké.
Le Forum ivoirien de la sécurité urbaine a remis du matériel au comité communal de sécurité.
Le FISU est une association nationale mise en place par les maires de Côte d’Ivoire préoccupés par les questions de sécurité. Pour remédier au phénomène, ils ont décidé de faire la promotion de la sécurité préventive et communautaire.
nbf/kkp/ask
Son délégué général, Mme Agnès Gnammon Adiko, a indiqué samedi que la promotion de la sécurité préventive et communautaire consiste à associer les populations à la recherche de stratégies de lutte efficace contre l’insécurité et à la mise en œuvre d’actions susceptibles d’influencer les causes de la violence, la délinquance et le banditisme.
"On ne peut plus considérer que la sécurité c’est seulement l’affaire des forces de sécurité, mais chacun de nous doit comprendre qu’il a son mot à dire dans tout ce qui est mis en place", a-t-elle souligné, invitant les différents acteurs sociaux à s’approprier la stratégie de prévention.
Lors de cette rencontre qui a réuni différents acteurs et les forces de sécurité, les échanges ont porté sur le guide de la sécurité urbaine à l’intention des maires rédigé par le FISU sur la base d’expériences vécues dans 23 communes de Côte d’Ivoire, y compris Bouaké. Les participants ont fait des suggestions en rapport avec les réalités du terrain.
Le sous-préfet central de Bouaké, M. Djandet Lorng, a salué l’initiative du forum et encouragé ses acteurs à tout mettre en œuvre pour réduire le taux d’insécurité dans les villes ivoiriennes, principalement à Bouaké.
Le Forum ivoirien de la sécurité urbaine a remis du matériel au comité communal de sécurité.
Le FISU est une association nationale mise en place par les maires de Côte d’Ivoire préoccupés par les questions de sécurité. Pour remédier au phénomène, ils ont décidé de faire la promotion de la sécurité préventive et communautaire.
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