Abidjan - La qualification aux quarts de finale des Eléphants de Côte d’Ivoire est une victoire du "fight spirit" (esprit du combattant en français), a-t-on noté.
Des 13 confrontations entre les deux "géants" du football africain depuis 1970, la 3ème et dernière journée des matchs du groupe D de la 30ème coupe d’Afrique des nations (CAN 2015) a été l’une des rares fois que les joueurs ivoiriens ont tenu psychologiquement et moralement pour venir à bout des Lions indomptables du Cameroun.
D’ailleurs, le sélectionneur national, Hervé Renard, après avoir publié la liste de ses 23 joueurs, a indiqué qu’il fallait un "grand état d’esprit" à son équipe pour remporter la CAN 2015.
Cet esprit de combattants, Yaya Touré et ses coéquipiers l’ont présenté mercredi face au Onze camerounais.
En effet, menant au score dès la 36ème mn de la première mi-temps, la sélection ivoirienne, malgré les assauts des véloces attaquants camerounais, n’a pas craqué et a tenu sa victoire jusqu’au coup de sifflet de l’arbitre gabonais, synonyme de qualification en quarts de finale où elle devra affronter, dimanche, les Fennecs d’Algérie, un autre défi à relever, après l’élimination subie le 24 janvier 2010 à Cabinda, en Angola, au même niveau de la compétition.
kp
Des 13 confrontations entre les deux "géants" du football africain depuis 1970, la 3ème et dernière journée des matchs du groupe D de la 30ème coupe d’Afrique des nations (CAN 2015) a été l’une des rares fois que les joueurs ivoiriens ont tenu psychologiquement et moralement pour venir à bout des Lions indomptables du Cameroun.
D’ailleurs, le sélectionneur national, Hervé Renard, après avoir publié la liste de ses 23 joueurs, a indiqué qu’il fallait un "grand état d’esprit" à son équipe pour remporter la CAN 2015.
Cet esprit de combattants, Yaya Touré et ses coéquipiers l’ont présenté mercredi face au Onze camerounais.
En effet, menant au score dès la 36ème mn de la première mi-temps, la sélection ivoirienne, malgré les assauts des véloces attaquants camerounais, n’a pas craqué et a tenu sa victoire jusqu’au coup de sifflet de l’arbitre gabonais, synonyme de qualification en quarts de finale où elle devra affronter, dimanche, les Fennecs d’Algérie, un autre défi à relever, après l’élimination subie le 24 janvier 2010 à Cabinda, en Angola, au même niveau de la compétition.
kp