Abidjan - L’Institut national démocratique pour les affaires internationales (NDI) a organisé jeudi, au siège d’ONU FEMMES, à Abidjan, un atelier sur la violence faite aux femmes, en période électorale.
Cet atelier qui a réuni entre autres des femmes et des hommes de la société civile, de la scène politique, de la Commission électorale indépendante (CEI) a eu pour objectif d’engager des discussions sur cette violence et l’impact de celle-ci sur la qualité des élections.
Il visait aussi à mieux faire comprendre la différence entre la violence électorale basée sur le genre et d’autres types de violences électorales, ainsi qu’amener les participants à prendre conscience de l’importance de la participation des femmes au processus électoral et à réfléchir sur d’éventuelles stratégies à mettre en place pour y arriver.
Lors de leurs interventions, la gestionnaire de programme genre, femme et démocratie au NDI Washington, Caroline Hubbard et la seconde animatrice de l’atelier, Sylvie Gogoua, ont relevé plusieurs actions pour prévenir ces violences électorales.
Notamment, sensibiliser et informer pour éduquer sur les droits de la femme et l’égalité des sexes ; amener les femmes, voire les populations à dénoncer ces violences ; mettre en place un système de veille ; mener des actions de consolidation de la paix, des campagnes d’éducation civique auprès des populations et des acteurs impliqués dans le processus électoral, dont les partis politiques, pour un processus électoral apaisé.
Le NDI est une organisation non gouvernementale qui œuvre au renforcement et au développement de la démocratie à travers le monde. Faisant appel à un réseau mondial d’experts volontaires, le NDI accorde un appui pratique aux leaders politiques et aux dirigeants de la société civile qui travaillent à l’établissement de valeurs et d’institutions démocratiques dans leurs pays, indique-t-on.
Il collabore avec les partisans de la démocratie, partout dans le monde, en vue de promouvoir l’action des organisations politiques et civiles, de favoriser la tenue d’élections libres et d’encourager la participation des citoyens à la vie publique, la transparence et la responsabilité gouvernementale en matière de gestion publique.
(AIP)
amak/kkp/kam
Cet atelier qui a réuni entre autres des femmes et des hommes de la société civile, de la scène politique, de la Commission électorale indépendante (CEI) a eu pour objectif d’engager des discussions sur cette violence et l’impact de celle-ci sur la qualité des élections.
Il visait aussi à mieux faire comprendre la différence entre la violence électorale basée sur le genre et d’autres types de violences électorales, ainsi qu’amener les participants à prendre conscience de l’importance de la participation des femmes au processus électoral et à réfléchir sur d’éventuelles stratégies à mettre en place pour y arriver.
Lors de leurs interventions, la gestionnaire de programme genre, femme et démocratie au NDI Washington, Caroline Hubbard et la seconde animatrice de l’atelier, Sylvie Gogoua, ont relevé plusieurs actions pour prévenir ces violences électorales.
Notamment, sensibiliser et informer pour éduquer sur les droits de la femme et l’égalité des sexes ; amener les femmes, voire les populations à dénoncer ces violences ; mettre en place un système de veille ; mener des actions de consolidation de la paix, des campagnes d’éducation civique auprès des populations et des acteurs impliqués dans le processus électoral, dont les partis politiques, pour un processus électoral apaisé.
Le NDI est une organisation non gouvernementale qui œuvre au renforcement et au développement de la démocratie à travers le monde. Faisant appel à un réseau mondial d’experts volontaires, le NDI accorde un appui pratique aux leaders politiques et aux dirigeants de la société civile qui travaillent à l’établissement de valeurs et d’institutions démocratiques dans leurs pays, indique-t-on.
Il collabore avec les partisans de la démocratie, partout dans le monde, en vue de promouvoir l’action des organisations politiques et civiles, de favoriser la tenue d’élections libres et d’encourager la participation des citoyens à la vie publique, la transparence et la responsabilité gouvernementale en matière de gestion publique.
(AIP)
amak/kkp/kam