M. Ayal Mehmet (D.G de Safak) :« Nous voulons montrer à la jeunesse, les possibilités d’étudier en Turquie »
Du 05 au 06 février 2015, le Groupe scolaire international ivoiro-turque, Safak, organise à l'hôtel Palm Club à Cocody, le Salon international des universités turques à Abidjan. En prélude à ce grand rendez-vous, nous avons rencontré Ayal Mehmet Lûftû, Directeur général du Groupe scolaire Safak, qui donne les raisons et articulations de cet évènement.
Pour quelles raisons organisez-vous un salon international des universités turques à Abidjan ?
En Côte d'Ivoire, il y a une population jeune et on veut montrer à cette jeunesse toutes les possibilités d'étudier en Turquie. Nous voulons aussi montrer les facilités qu'il y a à se rendre en Turquie pour apprendre et se former. Il faut savoir que dans notre pays, il y a la possibilité d'étudier en turc, en anglais et en français. Ce salon est donc bien venu pour exposer sur toutes les possibilités d'études en Turquie.
Pourquoi c'est seulement maintenant que vous initiez un tel salon à Abidjan ?
Nous sommes implantés en Côte d’Ivoire depuis 2013. Nous sommes arrivés dans ce pays et il fallait que nous nous familiarisions avec les populations. Et comme déjà nous organisons un forum de géo-mathématiciens à travers les olympiades des mathématiques, il fallait qu'on augmente les participants à cette tribune. Maintenant que nous avons fait le tour de la question, nous pensons qu'il est possible de montrer aux gens ce que la Turquie offre, en termes de formations scolaire et universitaire. Nous commençons maintenant car ce que nous voulons faire, nous comptons le pérenniser.
A.Quels sont les avantages de ce Salon ?
Nous avons contacté une dizaine d'universités turques qui seront présentes à ce salon. Et ces universités forment dans tous les domaines : les sciences médicales, sociales, éducatives, la littérature, la philosophie, le droit, l’ingénierie...
Que gagnent la Côte d'Ivoire et la Turquie ?
Comme le monde est planétaire aujourd'hui avec les Tic, les universités qui vont arriver, vont expliquer les avantages avec l'appui des étudiants étrangers qui étudient en Turquie. Et il y a la possibilité que des universités ivoiriennes soient partenaires des universités turques dans des échanges culturelles. Ce Salon que nous organisons est national, puisque nous l'organisons avec le ministère de l'Education nationale et de l'Enseignement technique et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Les avantages pour les deux pays sont énormes.
Quelles sont les structures qui prennent part à ce Salon ?
A part les ministères techniques de l'Education et de la formation, nous avons les ministères des Affaires étrangères de l'Intérieur et de la Sécurité et bien d’autres organisations. Ensuite, nous avons les différentes universités publiques et privées de Côte d'Ivoire et de la Turquie, les grandes écoles, les lycées et collèges, les parents d'élèves ainsi que les hommes d'affaires ivoiriens et turcs.
En organisant ce Salon, quel message voulez-vous faire passer ?
Notre message est celui-ci : comme il y a des étudiants turcs qui étudient en Côte d'Ivoire et que des Ivoiriens vont aussi se former en Turquie, nous voulons consolider cette coopération et montrer que ces deux pays ont beaucoup de choses en commun. Nous remercions les autorités ivoiriennes qui nous soutiennent, à commencer par le président de la République et les ministres qui ont compris le bien-fondé de ce salon et qui se l'ont approprié .
Entretien réalisé par F.A.
Du 05 au 06 février 2015, le Groupe scolaire international ivoiro-turque, Safak, organise à l'hôtel Palm Club à Cocody, le Salon international des universités turques à Abidjan. En prélude à ce grand rendez-vous, nous avons rencontré Ayal Mehmet Lûftû, Directeur général du Groupe scolaire Safak, qui donne les raisons et articulations de cet évènement.
Pour quelles raisons organisez-vous un salon international des universités turques à Abidjan ?
En Côte d'Ivoire, il y a une population jeune et on veut montrer à cette jeunesse toutes les possibilités d'étudier en Turquie. Nous voulons aussi montrer les facilités qu'il y a à se rendre en Turquie pour apprendre et se former. Il faut savoir que dans notre pays, il y a la possibilité d'étudier en turc, en anglais et en français. Ce salon est donc bien venu pour exposer sur toutes les possibilités d'études en Turquie.
Pourquoi c'est seulement maintenant que vous initiez un tel salon à Abidjan ?
Nous sommes implantés en Côte d’Ivoire depuis 2013. Nous sommes arrivés dans ce pays et il fallait que nous nous familiarisions avec les populations. Et comme déjà nous organisons un forum de géo-mathématiciens à travers les olympiades des mathématiques, il fallait qu'on augmente les participants à cette tribune. Maintenant que nous avons fait le tour de la question, nous pensons qu'il est possible de montrer aux gens ce que la Turquie offre, en termes de formations scolaire et universitaire. Nous commençons maintenant car ce que nous voulons faire, nous comptons le pérenniser.
A.Quels sont les avantages de ce Salon ?
Nous avons contacté une dizaine d'universités turques qui seront présentes à ce salon. Et ces universités forment dans tous les domaines : les sciences médicales, sociales, éducatives, la littérature, la philosophie, le droit, l’ingénierie...
Que gagnent la Côte d'Ivoire et la Turquie ?
Comme le monde est planétaire aujourd'hui avec les Tic, les universités qui vont arriver, vont expliquer les avantages avec l'appui des étudiants étrangers qui étudient en Turquie. Et il y a la possibilité que des universités ivoiriennes soient partenaires des universités turques dans des échanges culturelles. Ce Salon que nous organisons est national, puisque nous l'organisons avec le ministère de l'Education nationale et de l'Enseignement technique et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Les avantages pour les deux pays sont énormes.
Quelles sont les structures qui prennent part à ce Salon ?
A part les ministères techniques de l'Education et de la formation, nous avons les ministères des Affaires étrangères de l'Intérieur et de la Sécurité et bien d’autres organisations. Ensuite, nous avons les différentes universités publiques et privées de Côte d'Ivoire et de la Turquie, les grandes écoles, les lycées et collèges, les parents d'élèves ainsi que les hommes d'affaires ivoiriens et turcs.
En organisant ce Salon, quel message voulez-vous faire passer ?
Notre message est celui-ci : comme il y a des étudiants turcs qui étudient en Côte d'Ivoire et que des Ivoiriens vont aussi se former en Turquie, nous voulons consolider cette coopération et montrer que ces deux pays ont beaucoup de choses en commun. Nous remercions les autorités ivoiriennes qui nous soutiennent, à commencer par le président de la République et les ministres qui ont compris le bien-fondé de ce salon et qui se l'ont approprié .
Entretien réalisé par F.A.