Le gouvernement ivoirien a pris, en mai 2013, un décret portant interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation et de l’utilisation des déchets plastiques en Côte d’Ivoire et qui est entré en vigueur depuis le 08 novembre 2014.
« Il n’y a pas d’envie de tuer l’industrie du plastique en Côte d’Ivoire mais de la faire changer, de la faire muer vers des technologies modernes allant vers le biodégradable », a-t-il souligné, lors d’une conférence de presse portant sur l’actualité nationale.
"L’objectif visé est d’endiguer les effets néfastes de ces sachets en termes de dégradation de la qualité de l’environnement, de la santé et de la qualité de vie des populations", a-t-il ajouté.
Selon le Premier ministre, les sachets plastiques sont en grande partie à l'origine des inondations et posent un problème sanitaire car utilisés souvent pour transporter ou conserver la nourriture, alors qu'ils ne sont pas destinés à cet usage.
La réforme ne sera pas retirée mais fera l’objet d’adaptation en fonction des difficultés sur le terrain. Des discussions sont prévues avec le secteur privé, a-t-il précisé.
« Ils sont d’accord avec les textes mais l’application de la réforme sur le terrain pose quelques problèmes », a-t-il reconnu.
M. Duncan a ajouté que l’interdiction touche seulement la production et la vente locale. Cependant, ils peuvent être exportés vers les pays qui n’ont pas cette réglementation.
« L’essentiel de l’industrie ivoirienne a été adapté», a-t-il relevé, faisant remarquer que « c’est un travail de fond qui va permettre de créer de nouveaux emplois et permettre aux industries de se déployer ».
« Il n’y a pas d’envie de tuer l’industrie du plastique en Côte d’Ivoire mais de la faire changer, de la faire muer vers des technologies modernes allant vers le biodégradable », a-t-il souligné, lors d’une conférence de presse portant sur l’actualité nationale.
"L’objectif visé est d’endiguer les effets néfastes de ces sachets en termes de dégradation de la qualité de l’environnement, de la santé et de la qualité de vie des populations", a-t-il ajouté.
Selon le Premier ministre, les sachets plastiques sont en grande partie à l'origine des inondations et posent un problème sanitaire car utilisés souvent pour transporter ou conserver la nourriture, alors qu'ils ne sont pas destinés à cet usage.
La réforme ne sera pas retirée mais fera l’objet d’adaptation en fonction des difficultés sur le terrain. Des discussions sont prévues avec le secteur privé, a-t-il précisé.
« Ils sont d’accord avec les textes mais l’application de la réforme sur le terrain pose quelques problèmes », a-t-il reconnu.
M. Duncan a ajouté que l’interdiction touche seulement la production et la vente locale. Cependant, ils peuvent être exportés vers les pays qui n’ont pas cette réglementation.
« L’essentiel de l’industrie ivoirienne a été adapté», a-t-il relevé, faisant remarquer que « c’est un travail de fond qui va permettre de créer de nouveaux emplois et permettre aux industries de se déployer ».