Une délégation de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) a initié une rencontre vendredi à la préfecture de Niakara dans le cadre d'un projet visant à « promouvoir la participation politique des femmes et des jeunes des régions du Hambol (Katiola) et du Gbêkê (Bouaké) à l'élection présidentielle » d’octobre.
Présidée par le préfet de Niakara, cette rencontre a vu la participation de plusieurs responsables des associations et groupements des femmes et des jeunes de ladite localité.
Selon Mme Dansi Flora, responsable de la division des Droits de l'Homme de l'ONUCI à Bouaké, ce projet vise à « faciliter et à rendre visibles et significatives la participation et les contributions des femmes principalement, et des jeunes du Hambol et du Gbêkê,_deux régions où plusieurs facteurs et pratiques traditionnelles limitent la participation véritable de ces franges de la population au processus démocratique, lors de l'élection présidentielle prévue en 2015 en Côte d'Ivoire ».
De l'avis de Mme Dansi, en général les femmes participent peu à la démocratie car elles évitent la politique, les acteurs et les enjeux qui pourtant ont une influence sur leur vie et leur avenir.
« Pour la division des Droits de l'Homme de l'ONUCI, il ne peut y avoir de véritable démocratie si les points de vue des femmes, majoritaires en général, ne sont pas entendus », a-t-elle indiqué.
Ce projet, financé par l'ambassade du Canada en Côte d'Ivoire, entre dans sa phase pratique dès ce mois de février dans le Hambol et le Gbêkê avec l'appui des ONG telles que l'ONG Plateforme des organisations de la société civile, l'ONG Femmes Face au Sida et l'ONG Droits pour tous, comme partenaires de la mise en œuvre.
jbm/cmas
Présidée par le préfet de Niakara, cette rencontre a vu la participation de plusieurs responsables des associations et groupements des femmes et des jeunes de ladite localité.
Selon Mme Dansi Flora, responsable de la division des Droits de l'Homme de l'ONUCI à Bouaké, ce projet vise à « faciliter et à rendre visibles et significatives la participation et les contributions des femmes principalement, et des jeunes du Hambol et du Gbêkê,_deux régions où plusieurs facteurs et pratiques traditionnelles limitent la participation véritable de ces franges de la population au processus démocratique, lors de l'élection présidentielle prévue en 2015 en Côte d'Ivoire ».
De l'avis de Mme Dansi, en général les femmes participent peu à la démocratie car elles évitent la politique, les acteurs et les enjeux qui pourtant ont une influence sur leur vie et leur avenir.
« Pour la division des Droits de l'Homme de l'ONUCI, il ne peut y avoir de véritable démocratie si les points de vue des femmes, majoritaires en général, ne sont pas entendus », a-t-elle indiqué.
Ce projet, financé par l'ambassade du Canada en Côte d'Ivoire, entre dans sa phase pratique dès ce mois de février dans le Hambol et le Gbêkê avec l'appui des ONG telles que l'ONG Plateforme des organisations de la société civile, l'ONG Femmes Face au Sida et l'ONG Droits pour tous, comme partenaires de la mise en œuvre.
jbm/cmas