Abidjan - La fondation Abbé-Pierre, qui lutte contre le mal-logement, a publié mardi son 20ème rapport sur le mal-logement en France.
Selon ce rapport, 3,5 millions de personnes connaissent le mal-logement, un chiffre en hausse de 44% en 10 ans. Il s’agit des personnes qui se retrouvent sans-abri ou vivent dans des hôtels de fortune, ou encore retournent vivre chez leurs parents.
Le rapport pointe l’émergence d’une nouvelle catégorie de mal-logés, à savoir des familles avec enfants et des jeunes, ils représentent un quart de ces mal-logés.
Parmi les explications, la crise économique. "Les prix de l’immobilier augmentent, les propriétaires sont de plus en plus exigeants alors qu’en parallèle les revenus et les emplois sont de plus en plus précaires. L’autre explication, ce sont les besoins de logements qui sont sous-évalués par les pouvoirs publics".
La ministre française du Logement, Sylvia Pinel, a annoncé la création sur trois ans de 13 000 places alternatives à l’hébergement en hôtel, dans des pensions de famille ou encore au recours au secteur privé.
(AIP)
cmas
Selon ce rapport, 3,5 millions de personnes connaissent le mal-logement, un chiffre en hausse de 44% en 10 ans. Il s’agit des personnes qui se retrouvent sans-abri ou vivent dans des hôtels de fortune, ou encore retournent vivre chez leurs parents.
Le rapport pointe l’émergence d’une nouvelle catégorie de mal-logés, à savoir des familles avec enfants et des jeunes, ils représentent un quart de ces mal-logés.
Parmi les explications, la crise économique. "Les prix de l’immobilier augmentent, les propriétaires sont de plus en plus exigeants alors qu’en parallèle les revenus et les emplois sont de plus en plus précaires. L’autre explication, ce sont les besoins de logements qui sont sous-évalués par les pouvoirs publics".
La ministre française du Logement, Sylvia Pinel, a annoncé la création sur trois ans de 13 000 places alternatives à l’hébergement en hôtel, dans des pensions de famille ou encore au recours au secteur privé.
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