Paris - La Côte d’Ivoire a été sacrée championne d’Afrique en s’imposant aux tirs au but (0-0, 9 t.a.b à 8) contre le Ghana dimanche à Bata (Guinée Equatoriale) en finale de la CAN-2015, au terme d’un match fermé de bout en bout.
La Côte d’Ivoire remporte son deuxième sacre après celui de 1992 acquis,
déjà, à l’époque dans un match à rallonge contre le Ghana (0-0, 11-10 t.a.b.).
Le gardien Copa Barry, qui s’est plaint de crampes avant le 5e tir au but,
a offert le titre aux Ivoiriens en marquant le tir au but décisif, après avoir
arrêté deux tentatives ghanéennes.
La chance a tourné pour les Ivoiriens qui restaient sur deux échecs aux
tirs au but en finale en 2006 et 2012. Leur entraîneur, le Français Hervé
Renard, déjà vainqueur de la compétition en 2012 avec la Zambie, gagne son deuxième titre.
Sans imagination, ni énergie, les deux équipes s’en sont remises à quelques fulgurances individuelles jamais décisives, comme ces deux frappes sur le poteau des Ghanéens Atsu (23) et Ayew (36).
La Ghana, présent dans le dernier carré pour la cinquième fois consécutive, n’a jamais réussi à emballer la rencontre.
Aucun incident n’a émaillé la finale, disputée dans un stade qui n’était
pas plein. Des violences survenues dans les tribunes avaient fait 36 blessés jeudi à Malabo lors de la demi-finale entre le Ghana et la Guinée Equatoriale, pays hôte.
tsq/fbx
La Côte d’Ivoire remporte son deuxième sacre après celui de 1992 acquis,
déjà, à l’époque dans un match à rallonge contre le Ghana (0-0, 11-10 t.a.b.).
Le gardien Copa Barry, qui s’est plaint de crampes avant le 5e tir au but,
a offert le titre aux Ivoiriens en marquant le tir au but décisif, après avoir
arrêté deux tentatives ghanéennes.
La chance a tourné pour les Ivoiriens qui restaient sur deux échecs aux
tirs au but en finale en 2006 et 2012. Leur entraîneur, le Français Hervé
Renard, déjà vainqueur de la compétition en 2012 avec la Zambie, gagne son deuxième titre.
Sans imagination, ni énergie, les deux équipes s’en sont remises à quelques fulgurances individuelles jamais décisives, comme ces deux frappes sur le poteau des Ghanéens Atsu (23) et Ayew (36).
La Ghana, présent dans le dernier carré pour la cinquième fois consécutive, n’a jamais réussi à emballer la rencontre.
Aucun incident n’a émaillé la finale, disputée dans un stade qui n’était
pas plein. Des violences survenues dans les tribunes avaient fait 36 blessés jeudi à Malabo lors de la demi-finale entre le Ghana et la Guinée Equatoriale, pays hôte.
tsq/fbx