Vuvuzela, feux d’artifice, trompettes, sifflets, Klaxons, Yopougon, la plus grande et la plus peuplée commune de Côte d’Ivoire et d’Abidjan, est entrée dans une hystérie générale dans la nuit de dimanche, après le triomphe des Eléphants footballeurs à la finale de la Coupe d’Afrique des nations 2015 (CAN 2015) contre le Ghana (0-0 ; 9 t.a.b à 8).
Dès la transformation du dernier pénalty par le portier ivoirien Copa Barry, synonyme de victoire, des milliers d’habitants de Yopougon, en liesse, ont pris d’assaut les rues de la localité entonnant des chants et poussant des cris de joie.
Les éléphants sur le toit de l’Afrique, les habitants de "la cité de la joie" n’ont pas attendu la petite cérémonie de remise des trophées et médailles, avant de commencer la fête.
Un solide gaillard, au carrefour Akadjoba du quartier SIDECI, tout nu, portant uniquement un slip tricolore orange-blanc-vert, esquissent avec maestria des pas de danse sous les vivats d’une foule enthousiaste. "On a la coupe, la coupe est là", s’écrie-il, devenu presqu’aphone, le corps tout entier dégoulinant de sueur, et se tapant la poitrine à répétition.
A la SICOGI, au quartier Maroc et à Wassakara, l’ambiance est encore plus folle. On court par petits groupes dans tous les sens, on effectue des parades à motos.
Dès 22 H 10, la plus part des artères dont le boulevard principale, noire de monde, sont devenus quasi impraticables à la circulation des véhicules.
Point culminant de cette effervescence, la place FICGAYO en plein cœur de la commune, qui, débordée à minuit, continue de recevoir des supporter par vagues successives venant de tous les secteurs, en courant et en psalmodiant en chœur des chants à la gloire des pachydermes ivoiriens. Certains portant des maillots orange de l’équipe nationale, d’autres arborant des drapeaux orange-blanc-vert, quand les plus surexcités sont carrément torse nu.
Frappant comme elle peut sur une boite de tomate à l’aide d’un bâton pour faire du bruit, Sophie, une jeune étudiante, est ivre de joie. "Nous sommes là jusqu’au matin ; dès qu'il fait jour, on prend la route pour pour aller accueillir nos héros l’aéroport ", s’époumone-t-elle.
tm
Dès la transformation du dernier pénalty par le portier ivoirien Copa Barry, synonyme de victoire, des milliers d’habitants de Yopougon, en liesse, ont pris d’assaut les rues de la localité entonnant des chants et poussant des cris de joie.
Les éléphants sur le toit de l’Afrique, les habitants de "la cité de la joie" n’ont pas attendu la petite cérémonie de remise des trophées et médailles, avant de commencer la fête.
Un solide gaillard, au carrefour Akadjoba du quartier SIDECI, tout nu, portant uniquement un slip tricolore orange-blanc-vert, esquissent avec maestria des pas de danse sous les vivats d’une foule enthousiaste. "On a la coupe, la coupe est là", s’écrie-il, devenu presqu’aphone, le corps tout entier dégoulinant de sueur, et se tapant la poitrine à répétition.
A la SICOGI, au quartier Maroc et à Wassakara, l’ambiance est encore plus folle. On court par petits groupes dans tous les sens, on effectue des parades à motos.
Dès 22 H 10, la plus part des artères dont le boulevard principale, noire de monde, sont devenus quasi impraticables à la circulation des véhicules.
Point culminant de cette effervescence, la place FICGAYO en plein cœur de la commune, qui, débordée à minuit, continue de recevoir des supporter par vagues successives venant de tous les secteurs, en courant et en psalmodiant en chœur des chants à la gloire des pachydermes ivoiriens. Certains portant des maillots orange de l’équipe nationale, d’autres arborant des drapeaux orange-blanc-vert, quand les plus surexcités sont carrément torse nu.
Frappant comme elle peut sur une boite de tomate à l’aide d’un bâton pour faire du bruit, Sophie, une jeune étudiante, est ivre de joie. "Nous sommes là jusqu’au matin ; dès qu'il fait jour, on prend la route pour pour aller accueillir nos héros l’aéroport ", s’époumone-t-elle.
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