La victoire finale des Eléphants, la sélection ivoirienne de football, dimanche soir, à la 30è Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en Guinée Equatoriale a été célébrée, avec faste, dans la capitale économique et partout dans tout le pays où l’on a dansé toute la nuit jusqu’au petit matin pour saluer le 2è sacre de la Côte d’Ivoire.
Combien étaient-ils dans les rues d'Abidjan pour célébrer la victoire des Eléphants sur les Black Stars du Ghana (0-0 ; 9-8 après tirs au but) en finale de la CAN 2015 ? Difficile de donner un chiffre. De Yopougon à Port-Bouët en passant Adjamé, Plateau Treichville ou Cocody, les Ivoiriens sont descendus par milliers dans les rues pour accueillir le sacre des siens.
A l'intérieur du pays, mêmes dans les hameaux les plus reculés, l'ambiance était à la joie. On n'a pas fermé l'œil toute la nuit. Les maquis et bars ont fait le plein de clients venus arroser la victoire des Eléphants. Partout c'était la liesse populaire.
A 2h du matin, ce lundi, l'espace Ficgayo de Yopougon (ouest d'Abidjan) où un opérateur de téléphonie mobile a offert la compétition aux populations grâce à un écran géant, grouillait de monde dansant aux chansons à la gloire des Eléphants toute génération confondue. La bière a coulé à flots.
Une heure plus tard, à l'espace OBV, autre lieu d'évasion dans la même commune, l'ambiance est électrique avec des hommes et femmes se trémoussant sur les pistes de danse qui, tenant une bouteille de bière, qui exhibant le drapeau national. ‘' On est champion et y a rien !'', s'extase une jeune femme.
A 6h00 (heure et Gmt), des convois de véhicules s'ébranlent vers l'aéroport pour accueillir les héros de Bata. La journée de lundi étant décrétée fériée, chômée et payée par le chef de l'Etat. D'autres supporters qui ont terminé la nuit dans les maquis rallient, à pieds, le Stade Houphouët-Boigny, où les Eléphants présenteront le trophée à la Nation en présence du Président Alassane Ouattara.
HS/ls/APA
Combien étaient-ils dans les rues d'Abidjan pour célébrer la victoire des Eléphants sur les Black Stars du Ghana (0-0 ; 9-8 après tirs au but) en finale de la CAN 2015 ? Difficile de donner un chiffre. De Yopougon à Port-Bouët en passant Adjamé, Plateau Treichville ou Cocody, les Ivoiriens sont descendus par milliers dans les rues pour accueillir le sacre des siens.
A l'intérieur du pays, mêmes dans les hameaux les plus reculés, l'ambiance était à la joie. On n'a pas fermé l'œil toute la nuit. Les maquis et bars ont fait le plein de clients venus arroser la victoire des Eléphants. Partout c'était la liesse populaire.
A 2h du matin, ce lundi, l'espace Ficgayo de Yopougon (ouest d'Abidjan) où un opérateur de téléphonie mobile a offert la compétition aux populations grâce à un écran géant, grouillait de monde dansant aux chansons à la gloire des Eléphants toute génération confondue. La bière a coulé à flots.
Une heure plus tard, à l'espace OBV, autre lieu d'évasion dans la même commune, l'ambiance est électrique avec des hommes et femmes se trémoussant sur les pistes de danse qui, tenant une bouteille de bière, qui exhibant le drapeau national. ‘' On est champion et y a rien !'', s'extase une jeune femme.
A 6h00 (heure et Gmt), des convois de véhicules s'ébranlent vers l'aéroport pour accueillir les héros de Bata. La journée de lundi étant décrétée fériée, chômée et payée par le chef de l'Etat. D'autres supporters qui ont terminé la nuit dans les maquis rallient, à pieds, le Stade Houphouët-Boigny, où les Eléphants présenteront le trophée à la Nation en présence du Président Alassane Ouattara.
HS/ls/APA
