Abidjan - Scandant des chants en marchant par petits groupes, accrochés à des bus et minicars de transport en commun pour aller accueillir les Eléphants footballeurs, vainqueurs de la 30ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), des supporteurs ivoiriens, dans la liesse ce lundi, estiment que ce sacre de leur équipe nationale est une "grâce" qui "montre que tout est possible".
« Nous sommes heureux, tellement heureux que les mots me manquent. C’est une grâce, tout simplement. On critiquait Yaya (Touré), Copa Barry …, voilà, ils nous ont ramené la coupe d’Afrique. Nous souhaitons aussi que cette victoire des Eléphants ramène la réconciliation dans notre pays », affirme, essoufflé, Sangaré Al Kalil, qui marche au Plateau parmi une foule se dirigeant vers le stade Houphouët-Boigny où les pachydermes doivent être accueillis à leur retour de Malabo pour présenter le trophée au peuple de Côte d’Ivoire.
Au niveau de la place de la République, masques, danseuses, supporteurs, pour la plupart en maillots orange, chantent et dansent sous la vigilance des forces de l’ordre qui coordonnent ce mouvement de masse.
« Tout cela montre que tout est possible », lâche le jeune Edi Henri, faisant allusion à la montée crescendo en puissance de l’équipe nationale durant cette compétition.
Tout au long des grandes artères des communes de Cocody, de Plateau, de Williamsville-Adjamé, d’Attécoubé, tous convergent vers le "félicia".
Du côté de Cocody, du carrefour Saint Jean au lycée technique en passant par l’allocodrome, le lycée Mermoz, le "Carrefour la vie", bien que les rues ne soient pas très bruyantes, de petits groupes d’hommes et de femmes sont en route pour le Plateau, usant de sifflets et de Vuvuzela et criant de joie.
A Williamsville, difficile de se frayer un chemin en face de la cité anniversaire jusqu’au carrefour MACACI. De la voie menant à l’ancienne case jusqu’à la gare Nord d’Adjamé, des jeunes accrochés aux « Gbaka » (minicars de transport en commun) scandent : "On a gagné !, on a gagné !, on a la coupe !".
Même scène de liesse dans les rues d’Attécoubé et le long de la voie de la CARENA menant au Plateau.
A l’avenue Chardy du Plateau, des marcheurs essoufflés et assoiffés ne se font pas prier pour se mouiller le visage et le corps au niveau de la fontaine publique, avant de chercher à se frayer un passage vers ce stade qui, à la mi-journée, était déjà débordé de monde.
amak/kkp/tm
« Nous sommes heureux, tellement heureux que les mots me manquent. C’est une grâce, tout simplement. On critiquait Yaya (Touré), Copa Barry …, voilà, ils nous ont ramené la coupe d’Afrique. Nous souhaitons aussi que cette victoire des Eléphants ramène la réconciliation dans notre pays », affirme, essoufflé, Sangaré Al Kalil, qui marche au Plateau parmi une foule se dirigeant vers le stade Houphouët-Boigny où les pachydermes doivent être accueillis à leur retour de Malabo pour présenter le trophée au peuple de Côte d’Ivoire.
Au niveau de la place de la République, masques, danseuses, supporteurs, pour la plupart en maillots orange, chantent et dansent sous la vigilance des forces de l’ordre qui coordonnent ce mouvement de masse.
« Tout cela montre que tout est possible », lâche le jeune Edi Henri, faisant allusion à la montée crescendo en puissance de l’équipe nationale durant cette compétition.
Tout au long des grandes artères des communes de Cocody, de Plateau, de Williamsville-Adjamé, d’Attécoubé, tous convergent vers le "félicia".
Du côté de Cocody, du carrefour Saint Jean au lycée technique en passant par l’allocodrome, le lycée Mermoz, le "Carrefour la vie", bien que les rues ne soient pas très bruyantes, de petits groupes d’hommes et de femmes sont en route pour le Plateau, usant de sifflets et de Vuvuzela et criant de joie.
A Williamsville, difficile de se frayer un chemin en face de la cité anniversaire jusqu’au carrefour MACACI. De la voie menant à l’ancienne case jusqu’à la gare Nord d’Adjamé, des jeunes accrochés aux « Gbaka » (minicars de transport en commun) scandent : "On a gagné !, on a gagné !, on a la coupe !".
Même scène de liesse dans les rues d’Attécoubé et le long de la voie de la CARENA menant au Plateau.
A l’avenue Chardy du Plateau, des marcheurs essoufflés et assoiffés ne se font pas prier pour se mouiller le visage et le corps au niveau de la fontaine publique, avant de chercher à se frayer un passage vers ce stade qui, à la mi-journée, était déjà débordé de monde.
amak/kkp/tm