Le brassage de deux cultures, celle du Baoulé et de l’Agni, a été au centre de la deuxième édition de la soirée culturelle dénommée « Afryapa » 2015. Ce dîner-gala a permis de magnifier la femme Akan, à la veille de la Saint Valentin, à travers la célébration symbolique d’un mariage traditionnel entre une femme baoulé et un homme Agni. Cette soirée dédiée à la culture s’est tenue, le 6 février dernier, à l’espace champêtre Aka Adjo de la Riviéra-Attoban. Elle a permis aux «Valentins et Valentines» de s’imprégner du processus de mariage en pays Akan.
Selon la marraine de la cérémonie, Mme Chantal Abinan Pascal, le mariage est meilleur moyen de brasser les peuples. Aussi, dit-elle, le brassage culturel entre les baoulé et les
Agni, (deux ethnies du peuple Akan), est le plus souvent perceptible à travers le mariage. Cependant, la marraine a tenu à signifier le rôle de la femme dans la société Akan. «La femme Akan a un rôle essentiel d’éducatrice qu’elle doit affirmer et réaffirmer au quotidien.
Elle a également un rôle dans la préservation et la transmission des valeurs que personne ne doit oublier», a-t-elle relevé. Avant d’indiquer que le brassage et la culture sont importants pour l’évolution d’une nation.
Le commissaire du Festival des arts et de la culture agni (Festagni), Eric Ané, a saisi cette occasion pour informer ses hôtes de la célébration très prochainement de la fête des ignames à Abengourou, prévue pour le 20 février.
La soirée était placée sous le haut patronage du Jeannot Ahoussou Kouadio, ministre d’Etat auprès du président de la République, représenté par son conseiller technique, Yao Noël.
« Afryapa 2015 » ou bonne année en agni, a été une occasion pour plusieurs artistes de marqués de leur emprunte cette soirée : Ama Elène, Eba Aka Gérôme, Alla Thérèse, Tigresse Sidonie, Boni Pascal et Ahoussi de N’Gohinou.
Djè Abel
Selon la marraine de la cérémonie, Mme Chantal Abinan Pascal, le mariage est meilleur moyen de brasser les peuples. Aussi, dit-elle, le brassage culturel entre les baoulé et les
Agni, (deux ethnies du peuple Akan), est le plus souvent perceptible à travers le mariage. Cependant, la marraine a tenu à signifier le rôle de la femme dans la société Akan. «La femme Akan a un rôle essentiel d’éducatrice qu’elle doit affirmer et réaffirmer au quotidien.
Elle a également un rôle dans la préservation et la transmission des valeurs que personne ne doit oublier», a-t-elle relevé. Avant d’indiquer que le brassage et la culture sont importants pour l’évolution d’une nation.
Le commissaire du Festival des arts et de la culture agni (Festagni), Eric Ané, a saisi cette occasion pour informer ses hôtes de la célébration très prochainement de la fête des ignames à Abengourou, prévue pour le 20 février.
La soirée était placée sous le haut patronage du Jeannot Ahoussou Kouadio, ministre d’Etat auprès du président de la République, représenté par son conseiller technique, Yao Noël.
« Afryapa 2015 » ou bonne année en agni, a été une occasion pour plusieurs artistes de marqués de leur emprunte cette soirée : Ama Elène, Eba Aka Gérôme, Alla Thérèse, Tigresse Sidonie, Boni Pascal et Ahoussi de N’Gohinou.
Djè Abel