Les forces de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) et l’armée ivoirienne ont convenu de la nécessité d'une lutte acharnée contre les bandes armées qui sévissent sur les routes ivoiriennes, a appris Xinhua dimanche auprès de la mission onusienne.
Selon des officiers onusiens, l’ONUCI s’emploie à former les forces de sécurité ivoiriennes pour renforcer leurs capacités, en plus d’une veille opérationnelle commune des deux forces sur le terrain.
"Il s’agit pour nous de donner aux gendarmes ivoiriens des outils pour une meilleure appréhension du phénomène des bandes armées appelés 'coupeurs de route', en intervenant de manière opérationnelle et ce dans le respect des Droits de l’home", a expliqué le lieutenant Christophe Ledoussal.
Pour le second officier onusien, le Lieutenant Adam Jean-Michel, il est question d’assurer une remise à niveau des gendarmes de Côte d’Ivoire et de leur apporter la technicité.
"Cela leur permettra de devenir des pédagogues et des techniciens dans le but de se prendre en main après le départ de la mission des Nations Unies", a précisé le lieutenant Jean-Michel.
Les autorités sécuritaires ivoiriennes se sont réjouies de la synergie et de l’interaction des forces de sécurité onusiennes et ivoiriennes, dans l’optique d’une pacification du pays.
"Il est nécessaire pour les gendarmes de renforcer leur capacité opérationnelle pour être plus efficaces sur le terrain dans la lutte contre la criminalité", a souligné le commandant de la cinquième légion de Gendarmerie de Côte d’Ivoire le lieutenant-colonel Jules Akpo Koua.
"Le phénomène des bandes armées qui écument les routes est récurrent. Nous allons attaquer le mal à la racine en menant un combat énergique contre ces individus armés qui créent la désolation chez les paisibles populations", a renchéri un sous-officier ivoirien.
La crise post-électorale aiguë entre 2010 et 2011, qui a secoué la Côte d'Ivoire cinq mois durant, a accentué la circulation et la prolifération illicite d'armes qui ont occasionné l'insécurité dans plusieurs régions dont notamment le nord, l'ouest, le centre et le sud du pays.
Les individus puissamment armés communément appelés "coupeurs de route" tendent des embuscades sur des routes et les attaques perpétrées par ceux-ci ont déjà fait plusieurs morts.
Des convois officiels escortés ont même été attaqués par des inconnus armés.
Face aux actions récurrentes de ces bandes armées, les autorités ont tiré la sonnette d'alarme et tentent de prendre des mesures vigoureuses avec le soutien des partenaires dont l’ONU.
Sous la houlette des autorités ivoiriennes, des unités d’élite ont commencé leur déploiement dans plusieurs régions du pays.
Selon des officiers onusiens, l’ONUCI s’emploie à former les forces de sécurité ivoiriennes pour renforcer leurs capacités, en plus d’une veille opérationnelle commune des deux forces sur le terrain.
"Il s’agit pour nous de donner aux gendarmes ivoiriens des outils pour une meilleure appréhension du phénomène des bandes armées appelés 'coupeurs de route', en intervenant de manière opérationnelle et ce dans le respect des Droits de l’home", a expliqué le lieutenant Christophe Ledoussal.
Pour le second officier onusien, le Lieutenant Adam Jean-Michel, il est question d’assurer une remise à niveau des gendarmes de Côte d’Ivoire et de leur apporter la technicité.
"Cela leur permettra de devenir des pédagogues et des techniciens dans le but de se prendre en main après le départ de la mission des Nations Unies", a précisé le lieutenant Jean-Michel.
Les autorités sécuritaires ivoiriennes se sont réjouies de la synergie et de l’interaction des forces de sécurité onusiennes et ivoiriennes, dans l’optique d’une pacification du pays.
"Il est nécessaire pour les gendarmes de renforcer leur capacité opérationnelle pour être plus efficaces sur le terrain dans la lutte contre la criminalité", a souligné le commandant de la cinquième légion de Gendarmerie de Côte d’Ivoire le lieutenant-colonel Jules Akpo Koua.
"Le phénomène des bandes armées qui écument les routes est récurrent. Nous allons attaquer le mal à la racine en menant un combat énergique contre ces individus armés qui créent la désolation chez les paisibles populations", a renchéri un sous-officier ivoirien.
La crise post-électorale aiguë entre 2010 et 2011, qui a secoué la Côte d'Ivoire cinq mois durant, a accentué la circulation et la prolifération illicite d'armes qui ont occasionné l'insécurité dans plusieurs régions dont notamment le nord, l'ouest, le centre et le sud du pays.
Les individus puissamment armés communément appelés "coupeurs de route" tendent des embuscades sur des routes et les attaques perpétrées par ceux-ci ont déjà fait plusieurs morts.
Des convois officiels escortés ont même été attaqués par des inconnus armés.
Face aux actions récurrentes de ces bandes armées, les autorités ont tiré la sonnette d'alarme et tentent de prendre des mesures vigoureuses avec le soutien des partenaires dont l’ONU.
Sous la houlette des autorités ivoiriennes, des unités d’élite ont commencé leur déploiement dans plusieurs régions du pays.