Abidjan, 25 fév (AIP) – Des chercheurs américains révèlent que chaque seconde, 412 kilos de plastiques sont déversés dans les mers si bien qu’on parle aussi de 7e continent.
Des sacs, des bouteilles, des flacons, etc., tous les océans sont remplis de déchets plastiques, polluant les océans de la Terre, avec des conséquences dramatiques pour l'environnement.
Il faut moins de deux ans pour que les courants marins réunissent les particules de plastiques au centre de chaque océan. "On appelle cela un gyre", rapporte le journaliste Christophe de Vallambras.
Selon l'océanographe François Galgani, d'Ifremer, interrogé par France 2, "ce sont principalement des déchets qui viennent de la grande consommation". On trouve dans l'eau des déchets imposants mais aussi 5 000 milliards de microparticules de plastiques.
A la surface des océans, on compte 270 000 tonnes de déchets plastiques. Mais dans les fonds marins, c'est bien pire. Le volume des déchets est de l'ordre de quelques dizaines de millions de tonnes. Les conséquences pour l'environnement sont graves.
"On ne peut pas réparer (...), on ne peut pas revenir en arrière", déclare Christophe de Vallambras. "En revanche, on peut penser à l'avenir et arrêter dès que possible de rejeter nos déchets en mer", conclut-il.
(AIP)
cmas
Des sacs, des bouteilles, des flacons, etc., tous les océans sont remplis de déchets plastiques, polluant les océans de la Terre, avec des conséquences dramatiques pour l'environnement.
Il faut moins de deux ans pour que les courants marins réunissent les particules de plastiques au centre de chaque océan. "On appelle cela un gyre", rapporte le journaliste Christophe de Vallambras.
Selon l'océanographe François Galgani, d'Ifremer, interrogé par France 2, "ce sont principalement des déchets qui viennent de la grande consommation". On trouve dans l'eau des déchets imposants mais aussi 5 000 milliards de microparticules de plastiques.
A la surface des océans, on compte 270 000 tonnes de déchets plastiques. Mais dans les fonds marins, c'est bien pire. Le volume des déchets est de l'ordre de quelques dizaines de millions de tonnes. Les conséquences pour l'environnement sont graves.
"On ne peut pas réparer (...), on ne peut pas revenir en arrière", déclare Christophe de Vallambras. "En revanche, on peut penser à l'avenir et arrêter dès que possible de rejeter nos déchets en mer", conclut-il.
(AIP)
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