Abengourou, Les responsables de l’ONG Vision Nouvelle ont rencontré vendredi à la sous-préfecture d’Abengourou plusieurs acteurs de la société civile, notamment, des chefs de village, des chefs religieux ainsi que des responsables d’associations de jeunes et de femmes, en vue d’évaluer l’impact de leurs actions dans la population.
Cette rencontre vise à évaluer l’impact de nos actions dans la société », a indiqué le chef de projet protection de l’ONG Vision Nouvelle, Mme Kouadio Denise. « C’est aussi une opportunité qui s’offre à nous pour recueillir les propositions concrètes des populations en vue d’améliorer les activités que nous menons sur le terrain dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux enfants », a-t-elle ajouté.
En réponse à cette sollicitation, les participants à cette rencontre d’évaluation ont fait plusieurs propositions. Celles-ci portent, entre autres, sur l’implication active des chefs de village et des leaders religieux dans les actions de sensibilisation, l’utilisation de l’antenne de la radio locale et des panneaux d’affichage pour la diffusion de messages de sensibilisation.
Ils souhaitent également que le langage utilisé au cours des séances de sensibilisation soit adapté au niveau de langue de la population majoritairement analphabète. Outre ces « propositions constructives » dont ils ont pris bonne note, les responsables de l’ONG Vision Nouvelle ont plaidé auprès des acteurs de la société civile afin qu’ils s’engagent à dénoncer les cas de maltraitance d’enfant constatés dans la population afin de dissuader les éventuels auteurs.
Créée en 2006, l’ONG Vision Nouvelle a conçu et mis en œuvre plusieurs projets portant, notamment sur la lutte contre les pires formes du travail des enfants dans la cacaoculture, la scolarisation de la petite fille, l’encadrement scolaire des enfants de famille défavorisées.
Depuis septembre 2014, elle conduit un projet sur la lutte contre les violences sexuelles faites aux enfants. Selon Mme Kouadio, ce projet, prévu pour prendre fin en mars prochain, sera reconduit pour un an.
(AIP)
rkk/cmas
Cette rencontre vise à évaluer l’impact de nos actions dans la société », a indiqué le chef de projet protection de l’ONG Vision Nouvelle, Mme Kouadio Denise. « C’est aussi une opportunité qui s’offre à nous pour recueillir les propositions concrètes des populations en vue d’améliorer les activités que nous menons sur le terrain dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux enfants », a-t-elle ajouté.
En réponse à cette sollicitation, les participants à cette rencontre d’évaluation ont fait plusieurs propositions. Celles-ci portent, entre autres, sur l’implication active des chefs de village et des leaders religieux dans les actions de sensibilisation, l’utilisation de l’antenne de la radio locale et des panneaux d’affichage pour la diffusion de messages de sensibilisation.
Ils souhaitent également que le langage utilisé au cours des séances de sensibilisation soit adapté au niveau de langue de la population majoritairement analphabète. Outre ces « propositions constructives » dont ils ont pris bonne note, les responsables de l’ONG Vision Nouvelle ont plaidé auprès des acteurs de la société civile afin qu’ils s’engagent à dénoncer les cas de maltraitance d’enfant constatés dans la population afin de dissuader les éventuels auteurs.
Créée en 2006, l’ONG Vision Nouvelle a conçu et mis en œuvre plusieurs projets portant, notamment sur la lutte contre les pires formes du travail des enfants dans la cacaoculture, la scolarisation de la petite fille, l’encadrement scolaire des enfants de famille défavorisées.
Depuis septembre 2014, elle conduit un projet sur la lutte contre les violences sexuelles faites aux enfants. Selon Mme Kouadio, ce projet, prévu pour prendre fin en mars prochain, sera reconduit pour un an.
(AIP)
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