Comédienne, Ouattara Joséphine bien connue sous le nom de Djuessessi a été révélée au grand public dans les années 1980 à travers l’émission satirique de la RTI ‘’ Comment ça va ? ‘’ de Leonard Groguhet. Nous l’avons rencontrée pour un entretien.
Que devient Djuédjessi ?
Je suis là et je fais mon petit bonhomme de chemin. Elle est en Côte d’Ivoire.
Pourquoi, on ne la voit pas beaucoup comme avant?
On voit Djuédjessi lorsqu’elle fait son film et qu’elle diffuse. Présentement, on ne voit pas Djuédjessi parce qu’elle est dans son coin et elle prépare quelque chose.
Que prépare-t-elle concrètement ?
Elle prépare son film ‘’ charme et chagrin’’.
C’est combien d’épisodes ?
‘’Charme et chagrin’’, c’est sur 104 épisodes.
Où a-t-elle eu le financement ?
Djuédjessi a eu le financement un peu partout. J’ai pris un crédit à la banque à cause de cette dette je fais des nuits blanches. Un autre crédit au ministère de la Culture et la RTI m’a donné du sou pour produire ce film.
Quelles sont les difficultés que Djuédjessi a connues pendant qu’elle réalisait son film ?
Beaucoup, beaucoup de difficultés parce que j’ai fait de la coproduction avec la Radio Télévision Burkinabè (RTB). Avec la nouvelle situation au Burkina-Faso, cette partie n’a pu remplir sa part de contrat. Donc, aujourd’hui, je n’ai pas mal de problèmes. Que ce soit les techniciens ivoiriens comme burkinabè, jusque là, beaucoup n’ont pu être payés. Le film est bloqué au Burkina.
Qu’attend-t-elle de l’Etat ?
J’attends beaucoup de l’Etat. Que l’Etat nous soutienne. Le ministre Bandaman fait beaucoup pour nous. J’aurais souhaité qu’il fasse encore un peu plus.
Comment Djuédjessi apprécie-t-elle la pension attribuée aux anciens artistes ?
C’est une très bonne idée. Peut-être qu’un jour, je rentrerai dans cette pension. Je ne sais pas à quel âge on y rentre, mais, je suis pressée d’être sur la liste. On a fait beaucoup pour la Nation. On n’est pas rémunéré. Si pendant nos vieux instants, on peut percevoir une pension, je dis merci au Président Alassane Ouattara et au ministre de la culture, Maurice Bandaman qui a pensé à nous. Sinon, il y a des Anciens qui sont passés et ils n’ont rien eu. Ils ont souffert. Quand les gens nous voient en ville ils disent voilà les artistes-là. Quand on fait les campagnes on est avec eux. Quand ils font les baptêmes de leurs enfants, on est encore avec eux. Mais à la fin, qu’est ce qu’on gagne. C’est ça la triste réalité.
Le cri de cœur de Djuédjessi ?
Moi personnellement, j’ai besoin de soutien pour mon film ‘’Charme et Chagrin’’ parce que cela n’est pas facile pour moi. J’ai des partenaires. Je n’ai pas reçu de budget comme il se doit. J’avais donné ce film ‘’Charme et chagrin’’ au Président Alassane Ouattara, en son temps. Il m’a recommandé le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko. Aujourd’hui, je souffre. Je voudrais que le Président jette un regard sur moi.
Réalisé par M.Ouattara
Que devient Djuédjessi ?
Je suis là et je fais mon petit bonhomme de chemin. Elle est en Côte d’Ivoire.
Pourquoi, on ne la voit pas beaucoup comme avant?
On voit Djuédjessi lorsqu’elle fait son film et qu’elle diffuse. Présentement, on ne voit pas Djuédjessi parce qu’elle est dans son coin et elle prépare quelque chose.
Que prépare-t-elle concrètement ?
Elle prépare son film ‘’ charme et chagrin’’.
C’est combien d’épisodes ?
‘’Charme et chagrin’’, c’est sur 104 épisodes.
Où a-t-elle eu le financement ?
Djuédjessi a eu le financement un peu partout. J’ai pris un crédit à la banque à cause de cette dette je fais des nuits blanches. Un autre crédit au ministère de la Culture et la RTI m’a donné du sou pour produire ce film.
Quelles sont les difficultés que Djuédjessi a connues pendant qu’elle réalisait son film ?
Beaucoup, beaucoup de difficultés parce que j’ai fait de la coproduction avec la Radio Télévision Burkinabè (RTB). Avec la nouvelle situation au Burkina-Faso, cette partie n’a pu remplir sa part de contrat. Donc, aujourd’hui, je n’ai pas mal de problèmes. Que ce soit les techniciens ivoiriens comme burkinabè, jusque là, beaucoup n’ont pu être payés. Le film est bloqué au Burkina.
Qu’attend-t-elle de l’Etat ?
J’attends beaucoup de l’Etat. Que l’Etat nous soutienne. Le ministre Bandaman fait beaucoup pour nous. J’aurais souhaité qu’il fasse encore un peu plus.
Comment Djuédjessi apprécie-t-elle la pension attribuée aux anciens artistes ?
C’est une très bonne idée. Peut-être qu’un jour, je rentrerai dans cette pension. Je ne sais pas à quel âge on y rentre, mais, je suis pressée d’être sur la liste. On a fait beaucoup pour la Nation. On n’est pas rémunéré. Si pendant nos vieux instants, on peut percevoir une pension, je dis merci au Président Alassane Ouattara et au ministre de la culture, Maurice Bandaman qui a pensé à nous. Sinon, il y a des Anciens qui sont passés et ils n’ont rien eu. Ils ont souffert. Quand les gens nous voient en ville ils disent voilà les artistes-là. Quand on fait les campagnes on est avec eux. Quand ils font les baptêmes de leurs enfants, on est encore avec eux. Mais à la fin, qu’est ce qu’on gagne. C’est ça la triste réalité.
Le cri de cœur de Djuédjessi ?
Moi personnellement, j’ai besoin de soutien pour mon film ‘’Charme et Chagrin’’ parce que cela n’est pas facile pour moi. J’ai des partenaires. Je n’ai pas reçu de budget comme il se doit. J’avais donné ce film ‘’Charme et chagrin’’ au Président Alassane Ouattara, en son temps. Il m’a recommandé le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko. Aujourd’hui, je souffre. Je voudrais que le Président jette un regard sur moi.
Réalisé par M.Ouattara