Héros de la finale et du sacre à la CAN 2015, Copa Barry a annoncé sa retraite internationale avec la Côte d’Ivoire à 35 ans ce lundi. Il est le deuxième champion d’Afrique à arrêter avec les Eléphants après Kolo Touré.
Et de deux ! Après Kolo Touré, un deuxième champion d’Afrique ivoirien vient d’annoncer sa retraite internationale. Comme pressenti, Copa Barry a fait savoir ce lundi qu’il met un terme à sa carrière avec les Eléphants à 35 ans. "Toutes les bonnes choses ont une fin. J’ai décidé de mettre fin à ma carrière avec l’équipe nationale de Côte d’Ivoire", explique-t-il sur une vidéo postée sur son compte Facebook. "J’ai été fier de porter notre maillot".
Le gardien de Lokeren s’arrête donc en étant au sommet puisqu’il a été le héros du sacre à la CAN 2015. Une compétition qu’il avait pourtant débuté sur le banc. A la faveur d’une blessure de Sylvain Gbohouo, il a été titularisé en finale et s’est mué en héros national contre le Ghana (0-0, 9 tab à 8) en repoussant deux tirs au but puis en inscrivant celui de la victoire.
Titulaire depuis 2007
A l’issue du triomphe, Hervé Renard, son sélectionneur n’a eu de cesse de mettre en avant son "état d’esprit remarquable pendant la CAN. J’avais conscience que c’était très difficile pour lui d’être remplaçant. Il savait qu’il serait numéro 2 lors de cette compétition. Je lui avais laissé le choix de ne pas venir du tout. Il a accepté en me disant que sa patrie était le plus important", déclarait récemment le technicien français.
Formé à l’ASEC par Jean-Marc Guillou et joueur de champ dans sa jeunesse, Copa Barry referme une carrière internationale débutée il y a près de quinze ans contre la Tunisie en juin 2000 et riche de 85 sélections. D’abord remplaçant, il avait pris la succession de Jean-Jacques Tizié, son "grand frère" qu’il remercie dans la vidéo, après la Coupe du monde 2006.
Il gardait le but des Eléphants lors du Mondial 2010 et 2014, ainsi qu’en 2012 lorsqu’ils avaient perdu en finale de la CAN, aux tirs au but contre la Zambie. Souvent raillé pour son manque de sérénité face aux attaquants adverses, Copa Barry a pris une belle revanche trois ans plus tard. Il s’arrête en héros.
Et de deux ! Après Kolo Touré, un deuxième champion d’Afrique ivoirien vient d’annoncer sa retraite internationale. Comme pressenti, Copa Barry a fait savoir ce lundi qu’il met un terme à sa carrière avec les Eléphants à 35 ans. "Toutes les bonnes choses ont une fin. J’ai décidé de mettre fin à ma carrière avec l’équipe nationale de Côte d’Ivoire", explique-t-il sur une vidéo postée sur son compte Facebook. "J’ai été fier de porter notre maillot".
Le gardien de Lokeren s’arrête donc en étant au sommet puisqu’il a été le héros du sacre à la CAN 2015. Une compétition qu’il avait pourtant débuté sur le banc. A la faveur d’une blessure de Sylvain Gbohouo, il a été titularisé en finale et s’est mué en héros national contre le Ghana (0-0, 9 tab à 8) en repoussant deux tirs au but puis en inscrivant celui de la victoire.
Titulaire depuis 2007
A l’issue du triomphe, Hervé Renard, son sélectionneur n’a eu de cesse de mettre en avant son "état d’esprit remarquable pendant la CAN. J’avais conscience que c’était très difficile pour lui d’être remplaçant. Il savait qu’il serait numéro 2 lors de cette compétition. Je lui avais laissé le choix de ne pas venir du tout. Il a accepté en me disant que sa patrie était le plus important", déclarait récemment le technicien français.
Formé à l’ASEC par Jean-Marc Guillou et joueur de champ dans sa jeunesse, Copa Barry referme une carrière internationale débutée il y a près de quinze ans contre la Tunisie en juin 2000 et riche de 85 sélections. D’abord remplaçant, il avait pris la succession de Jean-Jacques Tizié, son "grand frère" qu’il remercie dans la vidéo, après la Coupe du monde 2006.
Il gardait le but des Eléphants lors du Mondial 2010 et 2014, ainsi qu’en 2012 lorsqu’ils avaient perdu en finale de la CAN, aux tirs au but contre la Zambie. Souvent raillé pour son manque de sérénité face aux attaquants adverses, Copa Barry a pris une belle revanche trois ans plus tard. Il s’arrête en héros.