Bouna – Le directeur régional de l’éducation nationale et de l’enseignement technique du Bounkani, Kouakou Koffi, a invité vendredi les enseignants du Lycée moderne de Bouna à se désolidariser du mot d’ordre de grève du Syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (SYNESCI) prévue pour les 12 et 13 mars prochains.
« Je suis venu vous parler en tant que petits frères, en tant qu’enfants. Le déblocage des avancements ne concerne pas seulement les enseignants, donc je ne comprends pas pourquoi ils en font une affaire personnelle. Au-delà de cela, comprenez que Bouna a ses réalités, nous n’avons pas les mêmes conditions de vie que les autres, donc laissez-les faire leur grève », a-t-il déclaré, lors d'une rencontre d'échanges, ajoutant que cette grève risque d’avoir de lourdes conséquences sur le salaire des éventuels grévistes.
Pour secrétaire général local du SYNESCI, Ziago Goli Célestin, loin de vouloir perturber l’année scolaire, le SYNESCI veut tout simplement revendiquer ce à quoi les enseignants ont droit. « Nous ne voulons pas troubler l’école, nous ne voulons pas faire un bras de fer avec vous mais comprenez-nous », a-t-il dit, s’adressant au directeur régional.
Cependant, il a indiqué que l’attitude à adopter par les enseignants reste liée à la levée ou non du mot d’ordre de grève par le bureau national du SYNESCI.
Depuis le 02 mars, l’école ivoirienne connaît des perturbations avec les mots d’ordre successifs des syndicats du secteur Education formation, constate-t-on.
ibt/fmo/cmas
« Je suis venu vous parler en tant que petits frères, en tant qu’enfants. Le déblocage des avancements ne concerne pas seulement les enseignants, donc je ne comprends pas pourquoi ils en font une affaire personnelle. Au-delà de cela, comprenez que Bouna a ses réalités, nous n’avons pas les mêmes conditions de vie que les autres, donc laissez-les faire leur grève », a-t-il déclaré, lors d'une rencontre d'échanges, ajoutant que cette grève risque d’avoir de lourdes conséquences sur le salaire des éventuels grévistes.
Pour secrétaire général local du SYNESCI, Ziago Goli Célestin, loin de vouloir perturber l’année scolaire, le SYNESCI veut tout simplement revendiquer ce à quoi les enseignants ont droit. « Nous ne voulons pas troubler l’école, nous ne voulons pas faire un bras de fer avec vous mais comprenez-nous », a-t-il dit, s’adressant au directeur régional.
Cependant, il a indiqué que l’attitude à adopter par les enseignants reste liée à la levée ou non du mot d’ordre de grève par le bureau national du SYNESCI.
Depuis le 02 mars, l’école ivoirienne connaît des perturbations avec les mots d’ordre successifs des syndicats du secteur Education formation, constate-t-on.
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