Abidjan - Le Goethe institut d’Abidjan a exhorté, mercredi, les africains à se départir de la violence à travers la projection du film "Concerning violence" du réalisateur suédois Göran Hugo Olsson.
Le film de près de 1h 30 d’horloge se sert des images aussi violentes que choquantes des guerres pour les indépendances dans plusieurs pays africains dont le Mozambique, l’Angola, la Guinée-Bissau et bien d’autres.
S’appuyant sur la célèbre œuvre de Frantz fanon, "Les Damnés de la terre", un ouvrage qui ouvre la voie à la théorie postcoloniale du néocolonialisme, le film invite à se départir de la violence sur toutes ses formes.
Présentés par la rappeuse et ex-chanteuse du groupe hip-hop "Fugees", les textes de Frantz Fanon, replacés dans un nouveau contexte, ont permis de jeter un regard sur les conflits actuels qui prouvent que les conséquences des siècles de domination européennes sont encore visibles aujourd’hui.
Cependant, conclu le film, l’Afrique ne doit pas constituer un continent où se perpétue la violence même si elle l’a subie dans ces différentes guerres de libération pour les indépendances.
Ce film, a été projeté dans le cadre du test du projet "Africa film network" initié par le Goethe institut visant à renforcer l’industrie cinématographique africaine et surtout à faciliter l’accès aux films ayant un lien avec l’Afrique, favorisant ainsi un échange interafricain des films et donc des idées.
akn/aaa/ask
Le film de près de 1h 30 d’horloge se sert des images aussi violentes que choquantes des guerres pour les indépendances dans plusieurs pays africains dont le Mozambique, l’Angola, la Guinée-Bissau et bien d’autres.
S’appuyant sur la célèbre œuvre de Frantz fanon, "Les Damnés de la terre", un ouvrage qui ouvre la voie à la théorie postcoloniale du néocolonialisme, le film invite à se départir de la violence sur toutes ses formes.
Présentés par la rappeuse et ex-chanteuse du groupe hip-hop "Fugees", les textes de Frantz Fanon, replacés dans un nouveau contexte, ont permis de jeter un regard sur les conflits actuels qui prouvent que les conséquences des siècles de domination européennes sont encore visibles aujourd’hui.
Cependant, conclu le film, l’Afrique ne doit pas constituer un continent où se perpétue la violence même si elle l’a subie dans ces différentes guerres de libération pour les indépendances.
Ce film, a été projeté dans le cadre du test du projet "Africa film network" initié par le Goethe institut visant à renforcer l’industrie cinématographique africaine et surtout à faciliter l’accès aux films ayant un lien avec l’Afrique, favorisant ainsi un échange interafricain des films et donc des idées.
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