Les économies des pays d'Afrique de l'Ouest subissent les retombées de l'épidémie d'Ebola, a déclaré l'ONU vendredi dans un communiqué, citant un nouveau rapport publié cette semaine.
"La stigmatisation, l'aversion au risque et la fermeture des frontières ont provoqué des dommages importants au sein d'un grand nombre d'économies de la sous-région", a déclaré le Directeur du Bureau régional du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) pour l'Afrique, Abdoulaye Mar Dieye.
Selon le Groupe de développement des Nations Unies (UNDG), l'Afrique de l'Ouest dans son ensemble risque de perdre au moins 3,6 milliards de dollars par an entre 2014 et 2017, en raison d'une diminution du commerce transfrontalier, de l'annulation de vols et d'une réduction directe des investissements étrangers et de l'activité touristique. Cette baisse a eu un impact important sur le développement humain. Le revenu par habitant de la région devrait chuter de 18 dollars par an entre 2015 et 2017.
Le rapport appelle à un plan de redressement intégré, comprenant la réouverture des frontières et la création de filets de sécurité sociale efficaces pour les populations touchées et les plus vulnérables, toujours selon le communiqué.
"La stigmatisation, l'aversion au risque et la fermeture des frontières ont provoqué des dommages importants au sein d'un grand nombre d'économies de la sous-région", a déclaré le Directeur du Bureau régional du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) pour l'Afrique, Abdoulaye Mar Dieye.
Selon le Groupe de développement des Nations Unies (UNDG), l'Afrique de l'Ouest dans son ensemble risque de perdre au moins 3,6 milliards de dollars par an entre 2014 et 2017, en raison d'une diminution du commerce transfrontalier, de l'annulation de vols et d'une réduction directe des investissements étrangers et de l'activité touristique. Cette baisse a eu un impact important sur le développement humain. Le revenu par habitant de la région devrait chuter de 18 dollars par an entre 2015 et 2017.
Le rapport appelle à un plan de redressement intégré, comprenant la réouverture des frontières et la création de filets de sécurité sociale efficaces pour les populations touchées et les plus vulnérables, toujours selon le communiqué.