San Pedro – Le Groupement des consommateurs et usagers de San Pedro (GCUSP), a déclaré dimanche son impatience de voir la Côte d’Ivoire se doter d’un code de la consommation pour compléter son arsenal juridique en la matière et permettre aux consommateurs de mieux défendre leurs droits et lutter contre la cherté de la vie.
Le président du GCUSP, Nomel Firmin, a fait cette déclaration à l’occasion de la célébration de la 33ème journée mondiale du consommateur, célébrée dimanche.
Selon le président du GCUSP, bien qu’annoncée par le ministre du commerce l’année dernière, la finalisation du processus d’adoption d’un code de la consommation n’a toujours pas vu le jour. Or, explique-t-il, un tel instrument juridique « aiderait les organisations de défense des droits des consommateurs à être plus outillées pour agir ».
Nomel Firmin a noté que des instruments juridiques et réglementaires aident certes à la protection des consommateurs en Côte d’Ivoire, mais s’avèrent insuffisants pour permettre aux organisations de consommateurs d’être plus libres d’effectuer eux-mêmes certains contrôles et de saisir la justice pour protéger les consommateurs quand certains de leurs droits sont bafoués par des fabricants ou distributeurs de produits.
Selon Nomel Firmin et ses collaborateurs, leur rôle d’organisation de consommateurs reste actuellement limité à l’information et à la sensibilisation des consommateurs sur les droits fondamentaux qui leurs sont reconnus par des lois ivoiriennes et la résolution de l’ONU, N°039/248 du 09 avril 1985, instituant le principe directeur des droits des consommateurs.
Ce principe directeur reconnaît huit droits fondamentaux dont le droit à la satisfaction des besoins essentiels, le droit à la sécurité, à l’éducation, l’information, à la réparation des torts, à un environnement sain.
En attendant l’avènement du code de la consommation, le GCUSP a lancé un appel aux consommateurs ivoiriens de San Pedro afin qu’ils assurent leur propre protection en restant vigilants sur la qualité et le prix de ce qui leur est vendu et en faisant jouer leur liberté de choix.
Le thème de la journée mondiale du consommateur cette année était « Le droit des consommateurs à une alimentation saine ».
jmk /akn/ask
Le président du GCUSP, Nomel Firmin, a fait cette déclaration à l’occasion de la célébration de la 33ème journée mondiale du consommateur, célébrée dimanche.
Selon le président du GCUSP, bien qu’annoncée par le ministre du commerce l’année dernière, la finalisation du processus d’adoption d’un code de la consommation n’a toujours pas vu le jour. Or, explique-t-il, un tel instrument juridique « aiderait les organisations de défense des droits des consommateurs à être plus outillées pour agir ».
Nomel Firmin a noté que des instruments juridiques et réglementaires aident certes à la protection des consommateurs en Côte d’Ivoire, mais s’avèrent insuffisants pour permettre aux organisations de consommateurs d’être plus libres d’effectuer eux-mêmes certains contrôles et de saisir la justice pour protéger les consommateurs quand certains de leurs droits sont bafoués par des fabricants ou distributeurs de produits.
Selon Nomel Firmin et ses collaborateurs, leur rôle d’organisation de consommateurs reste actuellement limité à l’information et à la sensibilisation des consommateurs sur les droits fondamentaux qui leurs sont reconnus par des lois ivoiriennes et la résolution de l’ONU, N°039/248 du 09 avril 1985, instituant le principe directeur des droits des consommateurs.
Ce principe directeur reconnaît huit droits fondamentaux dont le droit à la satisfaction des besoins essentiels, le droit à la sécurité, à l’éducation, l’information, à la réparation des torts, à un environnement sain.
En attendant l’avènement du code de la consommation, le GCUSP a lancé un appel aux consommateurs ivoiriens de San Pedro afin qu’ils assurent leur propre protection en restant vigilants sur la qualité et le prix de ce qui leur est vendu et en faisant jouer leur liberté de choix.
Le thème de la journée mondiale du consommateur cette année était « Le droit des consommateurs à une alimentation saine ».
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